"La Coupe du Monde de football est l’événement qui permet de voir le gratin du football s’exprimer, et l’histoire s’écrire. Faite de joie ou de détresse, chaque page est écrite différemment. Si certains ont remporté la victoire finale sans briller, d’autres ont brillé sans remporter le trophée ultime, mais ils ont malgré tout conquis les cœurs du monde entier par leur beauté. Retour sur ces histoires qui étaient trop belles pour se terminer en conte de fées, sur ces magnifiques perdants.
Hongrie 1954
Rarement le football n’a connu un séisme de cette ampleur. En ce 4 juillet 1954, l’invincible Hongrie est battue en finale de la Coupe du Monde par la RFA. Quatre ans après le Brésil qui s’était écroulé face à l’Uruguay à en faire pâlir l’échelle de Richter, les Hongrois ont eux aussi raté le coche alors que la victoire finale leur était promise. Il faut dire qu’on avait rarement vu une équipe aussi dominatrice à cette époque-là et même encore aujourd’hui. Comparer la Roja de ces dernières années à cette Hongrie, c’est comme comparer le Real Madrid à Ajaccio : la différence est stratosphérique." La suite sur voxstadium.fr
jeudi 12 juin 2014
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