"Les difficultés de l’Union européenne, notamment face à la crise des migrants et à la possibilité d’un Brexit, ont renforcé l’euroscepticisme des laissés pour compte de la transition démocratique.
Entretien avec Catherine Horel, directrice de recherche au CNRS (SIRICE) et spécialiste de l’Europe centrale (1)." La suite sur la-croix.com
(1) Auteur de Cette Europe qu’on dit centrale. Des Habsbourg à l’intégration européenne 1815-2004, Paris, Beauchesne, 2009.
jeudi 18 février 2016
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