La crise migratoire devrait être une nouvelle fois au centre du sommet européen qui se tient jeudi et vendredi.
La pression monte avant le sommet européen de la fin de semaine. Sur le Brexit comme sur la crise migratoire, comme le prouve la réunion tenue lundi à Prague par les pays du groupe de Visegrád (Pologne, République tchèque, Slovaquie et Hongrie). Ce groupe forme le noyau des « durs », qui ont freiné toute solution visant à partager le fardeau de la gestion de la crise au niveau européen. Ce lundi, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a une nouvelle fois fustigé une Europe « sans défense et faible ». Il a également affirmé que son gouvernement « refusait » le plan de répartition des réfugiés décidé par l'UE en septembre dernier. En revanche, son pays est « prêt à fournir des gardes-frontières et d'autres ressources humaines et matérielles aux pays qui seraient prêts à bâtir une deuxième ligne de défense au sud de la Hongrie ». La suite sur lesechos.fr
mercredi 17 février 2016
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