Un
bien beau titre, pour nous parler de la façon dont quelques-uns des
plus grands écrivains hongrois ont parlé de l’insurrection/révolution
qui a bouleversé la Hongrie et leur vie : Agota Kristof, Gyula Illyes,
Tibor Déry, Goncz, Kemeny, et bien sûr Imre Kertész, que nous
connaissons tous et que nous avions rencontré à Toulouse en 2006, qui
vient de mourir le 31 mars, à 86 ans…
Guillaume
Métayer, chercheur au CNRS, spécialiste de la littérature des XVII° et
XVIII° siècle, a publié sa thèse sur Nietzsche et Voltaire, De la
liberté de l’esprit et de la civilisation. Il est traducteur de
littérature hongroise, qu’il connait au plus près, et se trouve donc
particulièrement qualifié pour nous parler de liberté, et de ces
écrivains dans le contexte tragique d’octobre 1956 en Hongrie.
MERCREDI 13 AVRIL à 18h30
Salle Osète
6 rue du Lieutenant-Colonel Pélissier à ToulouseGuillaume Métayer |
Chargé de recherche au CNRS (Centre d’étude de la langue et de la littérature françaises des XVIIe et XVIIIe siècles, Paris-Sorbonne), ses travaux portent sur l’écriture philosophique des Lumières (en particulier Voltaire) dans sa postérité (Nietzsche, Anatole France…). Il est aussi poète et traducteur littéraire, notamment de poésie allemande et hongroise. Principaux ouvrages : Fugues (Aumage, 2002) ; Nietzsche et Voltaire (Flammarion, 2011), Anatole France et le nationalisme littéraire (Le Félin, 2011). Principales traductions : István Kemény, Deux fois deux (Caractères, 2008), Attila József, Ni père ni mère (Sillage, 2010), Nietzsche, Épigrammes (Sillage, 2011), Sándor Petőfi, Nuages (Sillage, 2013), Krisztina Tóth (Code Barres, Gallimard, 2014).
Source : culture.paris-sorbonne.fr
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