"Roman - Le réalisateur Peter Gardos retrace l'étonnante rencontre de ses parents, rescapés des camps. Un succès international.
"Toute ma vie, j'ai rêvé de devenir
un réalisateur international, et c'est avec mon premier livre que je
franchis toutes les frontières", remarque, songeur, Peter Gardos. La preuve: les droits de son roman, La Fièvre de l'aube
(plein d'espoir, bel exemple de résilience), se sont vendus, fait
exceptionnel pour un Hongrois, dans 35 pays depuis sa présentation à la
Foire du livre de Londres 2015 - en France, c'est Maggie Doyle pour
Robert Laffont qui emporte la mise.
Ironie de l'histoire, c'est dans le grand hôtel Nemzeti de Budapest, où il tournait des scènes de son premier long-métrage, Uramisten
(1984), qu'il nous reçoit aujourd'hui, sous le regard pétillant de sa
mère, Agnes, 90 printemps, véritable héroïne de cette aventure." La suite sur lexpress.fr
dimanche 17 avril 2016
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.