Vernissage le 8 janvier 2019
Le
mouvement a culminé dimanche avec environ 15 000 personnes dans
Budapest et quelques milliers à peine à l’échelle des principales villes
de provinces. Des manifestation quotidiennes réunissent le soir entre
2000 et 3000 personnes dans la capitale, souvent les mêmes. C’est peu au
regard des raisons qui les ont poussés dans la rue et des enjeux pour
l’avenir de la démocratie et de la société hongroises et ce qu’il se
passe n’est donc pas ce que l’on peut appeler un soulèvement populaire.
Mais c’est aussi beaucoup considérant le froid qui sévit, l’information
qui est cadenassée par l’hégémonie médiatique du Fidesz
et le fait que Viktor Orbán gouverne par la peur et l’intimidation,
surtout depuis ce début de troisième mandat. Cela dissuade beaucoup de
gens de participer aux rassemblements, à commencer par les
fonctionnaires." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr