"Idil Eser, directrice d’Amnesty International en Turquie, et son
homologue hongroise, Julia Ivan, analysent ensemble les dérives à
l’œuvre dans leurs pays. Il en ressort que la Turquie et la Hongrie
connaissent une évolution similaire vers un régime hybride liberticide.
"Mieux vaut allumer une bougie que maudire l’obscurité."
Depuis quelques années, cette phrase, essence même d’Amnesty
International, a pris tout son sens pour les défenseurs des droits de
l’homme en Turquie et en Hongrie. Deux pays séparés par un bon millier
de kilomètres, des histoires, des religions, des cultures différentes,
mais qui connaissent des évolutions similaires, en ce sens que les
sociétés civiles y sont de plus en plus restreintes. Lors de leur
passage à Bruxelles, Idil Eser, directrice de la section turque
d’Amnesty, et son homologue hongroise, Julia Ivan, ont évoqué leurs
réalités, qui se croisent par-delà les frontières dans l’oppression des
voix dissidentes." La suite sur lalibre.be (article payant)
mardi 19 juin 2018
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