"L’alliance pro-Orbán, anti-Bruxelles et pro-Poutine aux manettes de
l’Italie est inquiétante pour l’Europe, estime ce chroniqueur
hongrois libéral.
Le gouvernement droite-gauche élu par l’Italie se dirige vers une ligne
de conduite alliant, à la Orbán, souveraineté nationale, durcissement de
la politique antimigrants et relations probablement conflictuelles avec
l’Union européenne (UE). L’élite romaine soutenue par Bruxelles et Berlin avait pourtant tout
fait pour que la direction empruntée jusqu’ici se maintienne, mais n’a
pas réussi à satisfaire “les marchés” ou les ministres des Finances de
l’eurozone. Début mars, les Italiens ont envoyé un non franc et puissant
à la classe dévitalisée des Silvio Berlusconi, Matteo Renzi et
consorts. L’Italie se divise toujours entre Nord et Sud, mais ces deux
parties dénoncent désormais ensemble" La suite sur courrierinternational (article payant)
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