"L'Italien Matteo Salvini, l'Autriche de Sebastian Kurz et Horst
Seehofer, ministre allemand de l'Intérieur, forment un nouveau pôle
anti-immigration après celui réunissant la Hongrie, la Pologne, le
République tchèque et la Slovaquie.
Finalement, Viktor Orban
pourrait avoir gagné. Le maître de Budapest fut le premier à dresser
des barbelés contre l'exode, celui des Syriens en août 2015. Sa
prophétie n'est pas loin de se réaliser quand l'Italie, jusqu'ici
ouverte à la misère du monde, renvoie en pleine mer un bâtiment chargé de 629 migrants africains.
Basculement. Électrochoc. Malgré le trouble d'Angela Merkel et les
blâmes d'Emmanuel Macron, la question pour l'Europe n'est plus de savoir
si elle doit renforcer sa frontière commune. Mais si elle peut encore
éviter le retour aux barrières nationales.
En trois ans, l'exception hongroise s'est propagée à toute l'Europe
centrale. Varsovie, Prague et Bratislava jurent avec Budapest que la
religion musulmane n'est pas ..." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
vendredi 15 juin 2018
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