"Dans un roman-fleuve, l'auteur hongrois réveille les tumultes de l'Histoire.
Devant ce livre, on peut hésiter, comme on le ferait devant une immense
paroi à gravir à mains nues : dix-huit ans d'écriture, plus de cinq pour
la traduction, et un demi-siècle d'histoire embrassé dans une
chronologie heurtée où s'entremêlent destins collectifs et individuels.
Péter Nádas, né en 1942 à Budapest, auteur de La Fin d'un roman de
famille (1991) et du Livre des mémoires (1998), est un de ces
écrivains hongrois qui, tel Péter Esterházy, affrontent la longue
durée, brassant les décennies et les convulsions de leur pays. Ces Histoires
parallèles, qui closent la trilogie, il serait vain de vouloir les
résumer. Une multitude de personnages, une imbrication d'époques, depuis
la Seconde Guerre mondiale jusqu'aux lendemains de l'effondrement du
mur de Berlin, une écriture sous tension, des chapitres qui oscillent
entre cruauté et intimité, tout cela compose une fresque démentielle qui
n'autorise aucune dérobade au lecteur." La suite sur telerama.fr
Párhuzamos történetek, traduit du hongrois par Marc Martin, avec
la collaboration de Sophie Aude | Ed. Plon, coll. Feux croisés | 1 148
p., 39 € (en librairie le 8 mars).
mercredi 29 février 2012
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