Des institutions emblématiques vont disparaître du paysage culturel alternatif de Budapest. Ces disparitions marquent la fin d’une décennie prospère alors qu’une nouvelle étape débute avec la reprise en main du Trafó, du Gödör et du Nouveau Théâtre, institutions culturelles symboliques.
Le changement de direction inattendu du
Trafó, théâtre et centre d’art contemporain, et du Gödör, centre
musical et artistique, a surpris les artistes et aussi le public, qui,
subitement, se voient privés de leur lieu de travail et de
représentation ou de leur centre culturel préféré. Quant au Nouveau
Théâtre (cf article JFB n°353), c’est un tandem de choc, proche de
l’extrême droite, György Dörner et István Csurka (décédé en début de
mois) qui a été nommé pour le diriger.
Ces changements sont contestés par les intellectuels budapestois." La suite sur le Journal francophone de Budapest
Un repli nationaliste n'a jamais été très stimulant pour la vie culturelle d'un pays qui a besoin d'échanges multiples pour être "fertilisée"!
RépondreSupprimerTout-à-fait d'accord ! On voit bien les dégâts de la consanguinité quelle qu'elle soit, culturelle ou autre... J'observe en outre, d'une façon générale, que les Hongrois qui ont apporté le plus à la culture mondiale, ce sont majoritairement les exilés
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