Par Hélène Bienvenu à Budapest
"En discussion au Parlement, une nouvelle loi agraire exige une relation très étroite entre l’exploitant et sa terre.
Andrea vit de sa ferme de 20 hectares du côté de Jászberény, dans
l’est du pays. Elle dénonce le manque de transparence dans l’attribution
des contrats de fermage. « Un jeune homme, que personne ne
connaissait chez nous, a récemment remporté un appel d’offres pour une
terre de 22 hectares. Je ne savais même pas qu’il y avait un appel
d’offres en cours ! ».
En Hongrie, 500 000 hectares environ
appartiennent à l’État et sont régulièrement mis en location à travers
des appels d’offres. Du fait de sa qualité et de son prix (cinq à dix
fois moins élevé qu’à l’Ouest), la terre hongroise attise les
convoitises. Une grande partie des terres situées le long de la
frontière autrichienne sont illégalement exploitées, en « sous-location », par des ressortissants autrichiens. À l’échelle du pays, près d’un million d’hectares échapperait au contrôle des autorités." La suite sur la-croix.com
mardi 14 mai 2013
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