"Alors que les procès de migrants s’enchaînent dans le sud du pays depuis septembre, les manquements du système judiciaire sont criants.
Huit heures du matin au tribunal de Szeged, principale ville du sud de
la Hongrie, près de la frontière avec la Serbie. C’est l’heure où, quasi
quotidiennement, commencent les procès de migrants accusés d’avoir
illégalement franchi la frontière magyare. Ce matin-là, cinq Érythréens
comparaissent au pénal. Appréhendés par la police un dimanche matin à
l’aube, ils sont jugés deux jours plus tard. «Ne pourrait-on pas enlever leurs menottes aux prévenus ?» demande la juge. Les six policiers antiémeute bardés d’un gilet pare-balles s’exécutent." La suite sur liberation.fr
mardi 5 janvier 2016
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