"L'écriture à ses yeux, devait tenir compte de trois étapes : l'expérience, le souvenir et la distanciation. L'écrivain hongrois, prix Nobel de littérature, mort le 31 mars 2016, avait connu l'horreur à Auschwitz puis Buchenwald.
Holocauste et culture : deux mots immenses et antinomiques dont la
juxtaposition n’a cessé de hanter de nombreux écrivains et chercheurs.
George Steiner explique dans son œuvre que la culture n’a jamais empêché
la barbarie. Pour l’écrivain hongrois Imre Kertész,
qui vient de s’éteindre, à Budapest, ce jeudi 31 mars à l’âge de 86
ans, le terme de culture s’investit d’un sens plus ample dont l’acte
d’écrire doit résoudre les dissonances." La suite sur telerama.fr
vendredi 1 avril 2016
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