"Face au bulldozer (il)libéral, qui se fait de nombreux alliés dans les Balkans,
la gauche a bien du mal à exister, même dans les luttes anti-corruption
qui secouent la région. Émigré de Roumanie, d’abord libertaire, un
temps libéral, Gáspár Miklós Tamás est devenu une figure de proue du
marxisme critique. Entretien.
Propos recueillis par Nicolas Trifon
Né à Cluj en 1948, Gáspár Miklós Tamás quitte la Roumanie de Ceauşescu en 1978 pour s’installer à Budapest. Dans les années 1980, il campe sur des positions libertaires au sein d’une dissidence hongroise plutôt marxiste. Après 1989, il siège quatre ans au Parlement comme député d’un parti libéral, l’Alliance des démocrates libres, avant d’entamer une réflexion qualifiée par certains de « conservatrice libérale ». Il devient ensuite une figure de proue du marxisme critique. À l’heure du « capitalisme pur et simple » instauré à l’Est après l’implosion des régimes communistes, Marx est, selon lui, plus que jamais (...)" La suite sur courrierdesbalkans.fr (article payant)
Propos recueillis par Nicolas Trifon
Né à Cluj en 1948, Gáspár Miklós Tamás quitte la Roumanie de Ceauşescu en 1978 pour s’installer à Budapest. Dans les années 1980, il campe sur des positions libertaires au sein d’une dissidence hongroise plutôt marxiste. Après 1989, il siège quatre ans au Parlement comme député d’un parti libéral, l’Alliance des démocrates libres, avant d’entamer une réflexion qualifiée par certains de « conservatrice libérale ». Il devient ensuite une figure de proue du marxisme critique. À l’heure du « capitalisme pur et simple » instauré à l’Est après l’implosion des régimes communistes, Marx est, selon lui, plus que jamais (...)" La suite sur courrierdesbalkans.fr (article payant)
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