"Face au bulldozer (il)libéral, qui se fait de nombreux alliés dans les
Balkans, la gauche a bien du mal à exister, même dans les luttes
anti-corruption qui se secouent la région. Émigré de Roumanie, d’abord
libertaire, un temps libéral, Gáspár Miklós Tamás est devenu une figure
de proue du marxisme critique. Entretien.
En 2013, vous avez salué
avec enthousiasme la parution en Roumanie d’un ouvrage intitulé Je suis
un homme de gauche. Il faut du courage pour assumer un tel engagement à
l’Est, comme vous le faisiez remarquer dans la préface . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
jeudi 20 septembre 2018
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.