"Ainsi donc, comme prévu, une large majorité d’eurodéputés a voté pour
sanctionner la Hongrie. Un vote purement symbolique, puisqu’il doit
être confirmé à l’unanimité des États membres, parmi lesquels la
Pologne, qui s’y refusera. Il s’agit donc d’une remontrance de l’Union
européenne à l’égard d’un pays dont la politique migratoire ne
correspond pas aux standards définis par la commission.
On peut penser ce qu’on veut de Viktor Orban, le
Premier ministre hongrois, de ses dérives autocratiques et de ses
rodomontades. On peut juger ses propos « nauséabonds », estimer que sa
doctrine illibérale ne va pas dans le sens du progrès, mais on ne peut
pas lui enlever d’avoir été réélu avec 49 % des voix au premier tour." La suite sur lunion.fr
jeudi 13 septembre 2018
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