mercredi 12 septembre 2018

Avec “Hier”, le cinéma hongrois cède à l’appel du désert

"S’il fallait un signe de plus du renouveau du cinéma hongrois, le voici : dans Hier, Bálint Kenyeres entraîne le spectateur dans un périple marocain plein de souvenirs enfouis. Le film vient de sortir en Hongrie, non sans mal.
Victor Ganz mène la grande vie. homme d’affaires suisse, il possède une entreprise de bâtiment et de génie civil opérant à travers la planète. Des difficultés sur un chantier coûteux au Maroc l’obligent à s’y rendre alors qu’il déteste voyager. Le voilà pris dans un labyrinthe désertique mêlant politiciens corrompus, pressions et réapparition d’un amour perdu." La suite sur courrierinternational.com

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