"Repenser, voire renommer les démocraties, perverties de
l’intérieur par des tyrans les ayant préemptées pour se faire élire et
réélire. Telle est la tâche que s’assigne une bête noire de Viktor
Orbán, Ágnes Heller, 89 ans. Entretien avec la philosophe hongroise, de
passage à Paris.
Dans la capitale française, jusqu’au 26 novembre au soir, Budapest est à l’honneur – et sur le grill – avec Un week-end à l’Est. Cette manifestation culturelle, parrainée par le metteur en scène hongrois Árpád Schilling, a offert de très riches
rencontres – le cinéaste mythique Bela Tarr y a présenté quelques-uns
de ses films. Parmi la pléiade d’artistes et d’intellectuels ayant fait
le voyage : Ágnes Heller. Née en mai 1929, disciple et soutien du
philosophe marxiste critique Georg Lukács (1885-1971), Ágnes Heller est une survivante de cette « école de Budapest », qui donna du fil à retordre à la prétendue démocratie populaire hongroise sclérosée, en repensant l’idée de socialisme." La suite sur mediapart.fr (article payant)
lundi 26 novembre 2018
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