Par Pierre Waline
"Trois bonnes raisons de nous rendre à ce concert. Tout d´abord pour la présence de la jeune soprano hongroise Emőke Baráth que l´on peut considérer sans exagération comme l´une des plus accomplies non seulement sur la scène hongroise, mais sur la scène internationale. Deuxième raison: l´ensemble constitué par l´orchestre Orfeo et le choeur Purcell, l´une de nos formations favorites. Troisième raison, enfin, Mozart (tout de même!). Outre le plaisir d´entendre et réentendre sa musique sans jamais nous lasser, c´est ici l´une des deux oeuvres inscrites au programme qui a été pour nous décisive: sa Grande Messe en ut mineur K427 (précédée de la symphonie Jupiter).
De la musique religieuse de Mozart, le public connaît surtout son Requiem et la Messe du Couronnement. Bien moins souvent jouée, la Grande Messe figure pourtant au rang de ses oeuvres majeures. Messe que Mozart composa à l’époque de son mariage avec Konstanze Weber, alors qu´établi à Vienne, il venait de s´affranchir du Prince-Archévêque Colloredo. Elle répond à un voeu que le jeune Wolfgang avait formulé pour la guérison de sa fiancée alors gravement malade et pour la réalisation de leur hyménée." La suite sur francianyelv.hu
vendredi 16 novembre 2018
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