"La nouvelle Constitution hongroise votée par le Parlement le 18 avril couronne la "révolution nationale" entreprise par le Premier ministre Viktor Orbán. Mais ce recyclage d'idées du XIXe siècle est un danger pour le pays, estime le quotidien Népszabadság.
Cette Constitution est le fruit d’un gouvernement qui détient légalement le pouvoir, celui de la dictature d’une majorité parlementaire. Pourtant, elle est tellement anachronique que nous devons évoquer un penseur du XIXe siècle, Tocqueville, pour réaliser que la dictature de la majorité est un danger vivant pour la communauté." La suite sur presseurop.eu
mercredi 20 avril 2011
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