Le centre d’art contemporain, le Trafó, risque de perdre son profil innovateur si la municipalité de Budapest cède la gestion de cette institution à l’État.
Quand l’ancien maire de Budapest, Gábor Demszky, a quitté son poste l’an dernier, il a confié au directeur du Trafó, György Szabó, qu’il craignait que l’institution ne puisse conserver son autonomie et sa diversité. Szabó n’avait pas alors pris conscience de la portée de cette phrase, ne fréquentant pas par ailleurs les cercles politiques." La suite sur le Journal francophone de Budapest
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