"Des inédits de l'artiste hongrois sont exposés à Montpellier. En 1957, aux États-Unis, il délaissait le noir et blanc le temps d'un reportage.
Oublions les Graffitis, cette danse macabre de crânes et de visages fantomatiques creusés dans le plâtre des vieux immeubles parisiens, que Brassaï, le Hongrois aux sourcils d'ogre subcarpatique, a transformés en art moderne. En descendant plein sud, même cette figure légendaire du noir et du blanc, de la ruelle sombre, du soleil triste de minuit, des pavés usés et des femmes assorties, prend des couleurs. Montpellier n'est pas fâchée de révéler au reste du monde le reportage américain de Brassaï, réalisé en 1957 pour le magazine Holiday." La suite sur lefigaro.fr
«Brassaï en Amérique», jusqu'au 30 octobre au Pavillon populaire à Montpellier, www.montpellier.fr
Le livre est édité chez Flammarion (35 €). Et Paris de nuit, préface de Paul Morand (1924), réimprimé chez Flammarion (35 €).
mercredi 29 juin 2011
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