"« On fait payer tout ce qui bouge », aucune alternative n’est permise à ceux qui gagnent de l’argent en Hongrie. C’est la devise du gouvernement hongrois qui en fait un vrai slogan. C’est ainsi que le 18 mai 2011 restera une date mémorable pour le secteur pharmaceutique hongrois.
Ce secteur paisible, porteur et rentable se voit bousculé par la politique financière et réformiste menée par Viktor Orbán. Le 18 mai, la nouvelle loi concernant la taxe imposée aux laboratoires pharmaceutiques a été présentée au Parlement hongrois et soumise aux débats de l'Assemblée, dont l'issue était prévisible." La suite sur le Journal francophone de Budapest
vendredi 10 juin 2011
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