"La communauté vit mal les critiques contre le régime de Budapest.
Les Hongrois de l’étranger, et de Suisse tout particulièrement, endurent
avec peine les critiques venant de toute l’Europe contre leur pays. «Audiatur et altera pars,
qu’on entende l’autre partie également», plaide Judith Czellar,
professeur de latin. «Entendre des attaques aussi illégitimes, on n’en
dort plus. Sans exagération, on peut dire que nous sommes physiquement
malades de ce qui se passe», dit Péter, un physicien hongrois. «Nous
suivons les événements de très près, ajoute son épouse, informaticienne.
Le gouvernement est systématiquement diabolisé, la moindre loi est
aussitôt distordue avec un cynisme incroyable, puis reprise et amplifiée
par les médias de l’Ouest.» " La suite sur letemps.ch
samedi 10 mars 2012
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