"Laszlo Földényi sait donner un nouveau souffle, plus léger, néanmoins roboratif, au genre, parvenant à rendre toute sa noblesse à ce sentiment de mélancolie hélas trop souvent relégué par notre contemporain du côté de l’indésirable. Gageons que notre essayiste hongrois doit être un beau philosophe mélancolique pour réussir à sculpter une telle stèle littéraire à son modèle.
Une revue de l’ouvrage de Laszlo Földényi, Mélancolie, essai sur l’âme occidentale, traduit du hongrois par Natalia Huzsvai et Charles Zaremba, Actes Sud, 352 p, 24, 80 €.
Par Thierry Guinhut" La suite sur contrepoints.org
lundi 5 mars 2012
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