Par Pierre Waline
„Et s’il me plaît, à moi, d’être battue!” Voilà une réplique que j’aurais bien volontiers empruntée à Molière pour la placer dans la bouche des dirigeants de l’opposition hongroise. Du moins avant que ces derniers n’eussent fini par accoucher, in extremis et dans la douleur, d’un accord d’union pour tenter de renverser l’actuelle majorité lors des prochaines élections législatives. Ouf, il était temps!" La suite sur francianyelv.hu
jeudi 30 janvier 2014
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