"En 2011, Csanád Szegedi, vice-président du Jobbik, parti raciste d’extrême droite, découvre que sa famille a été déportée à Auschwitz. Depuis, il a quitté son parti et a rejoint une communauté juive ultra-orthodoxe.
Le vendredi, Csanád Szegedi coiffe sa kippa, part prier à la synagogue et coupe son téléphone portable jusqu’au samedi soir. Comme tout juif pratiquant qui se respecte. Sauf qu’il y a encore vingt mois, il était l’un des chefs de l’extrême droite hongroise, le vice-président du Jobbik (Mouvement pour une meilleure Hongrie), parti d’opposition ultranationaliste et raciste." La suite sur liberation.fr version payante ou en kiosque
lundi 27 janvier 2014
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