"Il faut saluer l’initiative de Clavis
Films, maison de production et d’édition spécialisée dans le cinéma de
patrimoine hongrois, de sortir Le Témoin de Péter
Bacsó, bijou d’humour décapant qui, il y a trois ans, faisait
l’ouverture du cycle « Comédies satyriques hongroises » à la
Cinémathèque Française. Le film, qui dénonce par la dérision la pratique
des procès staliniens, est né de cet instant de la fin des années 1960
où, sous l’impulsion du Printemps de Prague, les artistes magyars
crurent un temps profiter d’une relâche de la censure avant que la
Hongrie, signataire du Pacte de Varsovie, ne réaffirme sa subordination à
la Russie soviétique. Bacsó dut donc ruser avec sa tutelle pour achever
le tournage d’un film qui, de toute façon, fut retiré des écrans peu
après sa sortie." La suite sur lemonde.fr (version payante)
lundi 22 décembre 2014
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