"Par Pierre Waline
Un ténor perché dans une cuvette oscillant à trois mètres au-dessus du sol. Une soprano hissée sur un monte-charge tandis que courent en tous sens à ses pieds des hommes en caleçon long (de plus, vieux, mal rasés et pas beaux...). Une danseuse nue (ou presque), elle aussi perchée sur ladite cuvette qui s’enduit le corps de cambouis tandis que notre petit monde gesticule et chante sur scène. Une pièce burlesque? Offenbach, Chabrier, Chostakhovitch? Non ! Le Freischütz de Carl Maria von Weber.
Le délit fut commis dimanche dernier pour la Première au théâtre Erkel
de Budapest. La première, ... malheureusement pas la dernière. Il y a
des moments où l’on se prendrait méchamment à rêver d’un rétablissement
du goulag, du moins pour certains metteurs en scène..." La suite sur francianyelv.hu
mardi 16 décembre 2014
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.