"Des couleurs flashy et des motifs géométriques extravagants:
25 ans après la chute du Rideau de fer, des maisons hongroises
témoignent d’une époque où la fantaisie des crépis offrait une rare
échappatoire à la grisaille communiste, un passé aujourd’hui refoulé.
Construites
à quelque 800.000 exemplaires à travers le pays dans les années 1960 et
1970, les «cubes de Kadar», du nom du dirigeant communiste de l’époque,
étaient censés offrir aux Hongrois un confort pavillonnaire égalitaire,
sur 100 mètres carrés." La suite sur liberation.fr
mercredi 17 décembre 2014
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