mercredi 6 mai 2015

« La vie est par essence un parcours tragique » Interview avec le romancier Ferenc Barnás

"Ces deux derniers mois, vous étiez invités par la Maison des Écrivains Étrangers et des Traducteurs de Saint-Nazaire. Comment se sont passés ces deux mois ? Sauf erreur de ma part, vous avez également écrit pendant un séjour en résidence à l’étranger Le neuvième (A kilencedik), celui de vos romans qui a remporté le plus grand succès et qui a été nommé pour le prix américain du meilleur livre étranger (Best Translated Book Award).
J’exerce un emploi à temps plein à Budapest, comme agent de surveillance de musée. C’est ce qui me permet de gagner ma vie. En tant qu’écrivain, j’ai besoin de ces périodes pour travailler dans une ambiance un peu plus propice à la concentration, plus calme et sans interruption. J’ai la chance de collaborer avec des traducteurs particulièrement talentueux. Grâce à eux, j’ai pu avoir accès à ces résidences à l’étranger, suite à l’appel à candidatures américain, le conseil a pris en considération la traduction réalisée par Paul Olvachy, en d’autres termes, cette opportunité américaine, je la dois au traducteur du mon roman Le neuvième, Paul Olchvary. Celle de Saint-Nazaire, c’est à ma traductrice française, Ágnes Járfás, que je la dois." La suite sur litteraturehongroise.fr

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