"Ces deux derniers mois, vous étiez invités par la Maison des
Écrivains Étrangers et des Traducteurs de Saint-Nazaire. Comment se sont
passés ces deux mois ? Sauf erreur de ma part, vous avez également
écrit pendant un séjour en résidence à l’étranger Le neuvième
(A kilencedik), celui de vos romans qui a remporté le plus grand succès
et qui a été nommé pour le prix américain du meilleur livre étranger
(Best Translated Book Award).
J’exerce un emploi à temps plein à Budapest, comme agent de surveillance
de musée. C’est ce qui me permet de gagner ma vie. En tant qu’écrivain,
j’ai besoin de ces périodes pour travailler dans une ambiance un peu
plus propice à la concentration, plus calme et sans interruption. J’ai
la chance de collaborer avec des traducteurs particulièrement
talentueux. Grâce à eux, j’ai pu avoir accès à ces résidences à
l’étranger, suite à l’appel à candidatures américain, le conseil a pris
en considération la traduction réalisée par Paul Olvachy, en d’autres
termes, cette opportunité américaine, je la dois au traducteur du mon
roman Le neuvième, Paul Olchvary. Celle de Saint-Nazaire, c’est à ma traductrice française, Ágnes Járfás, que je la dois." La suite sur litteraturehongroise.fr
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