"Tout avait été fait par le président du Parlement européen, le
social-démocrate Martin Schulz, pour éviter de transformer ce débat sur
la Hongrie, lors de la plénière du Parlement de Strasbourg, mardi
19 mai, en tribune de choix pour son premier ministre. Viktor Orban s’y
était invité par surprise et sur le tard. Ce sont d’abord les
représentants du Conseil européen, de la Commission et les eurodéputés
qui ont eu la parole. Il s’agissait de prendre position à la suite des
déclarations venues de Budapest ces dernières semaines.
M. Orban
avait notamment déclaré qu’il réfléchissait à la réintroduction de la
peine de mort dans son pays – avant de se rétracter. Puis, il avait
annoncé une consultation publique, avec un questionnaire sur la
politique d’immigration européenne. L’abolition de la peine de mort est
une des conditions pour l’adhésion à l’Union européenne. Si un pays
membre doit la remettre en cause, alors l’article 7 du droit de l’UE,
qui prévoit des sanctions, doit être activé." La suite sur lemonde.fr
mercredi 20 mai 2015
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