"« De 22 heures à 2 heures du matin,
ils étaient dix, puis neuf… Pendant ces quatre heures, on a écouté les
distributeurs et on s’est demandé lequel était le plus convaincant.
Enfin, de 2 heures à 4 heures au matin, on s’est retrouvé dans une
négociation serrée avec un seul interlocuteur, Sony. » On sent
encore l’adrénaline lorsque Nicolas Brigaud-Robert, de Films
Distribution, raconte le marathon que fut la vente, sur le territoire
américain, du film hongrois en compétition officielle, Le Fils de Saul.
Ce premier long-métrage de Laszlo Nemes, 38 ans, qui montre l’horreur d’Auschwitz, a suscité un vif débat parmi les critiques, et l’ébullition sur les marchés. « L’emballement a été immédiat, dans la soirée qui a suivi la projection à Cannes, vendredi 15 mai. C’est rare pour un film non hollywoodien »,..." La suite sur lemonde.fr (version abonnés)
Ce premier long-métrage de Laszlo Nemes, 38 ans, qui montre l’horreur d’Auschwitz, a suscité un vif débat parmi les critiques, et l’ébullition sur les marchés. « L’emballement a été immédiat, dans la soirée qui a suivi la projection à Cannes, vendredi 15 mai. C’est rare pour un film non hollywoodien »,..." La suite sur lemonde.fr (version abonnés)
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