"CHOC – Troisième film de la compétition officielle, "Le fils de Saul" raconte le quotidien d’un déporté juif, chargé de faire tourner l’insoutenable machine de mort d’Auschwitz. Avec sa première réalisation, le jeune cinéaste hongrois László Nemes signe une œuvre intense mais jamais complaisante, qui devrait longtemps hanter ses spectateurs.
C’est un film qui ne supporte pas la légèreté. La critique en 140
signes, postée à la va-vite sur Twitter. Présenté ce jeudi à la presse, Le fils de Saul est
le premier uppercut de la compétition officielle. Une œuvre qui sidère
autant par son propos – le quotidien d’un déporté chargé d’accompagner
les siens jusqu’aux chambres à gaz – que par sa mise en scène
saisissante, sans artifice ni complaisance. Mais comment pourrait-il en
être autrement avec un sujet pareil ?" La suite sur metronews.fr
vendredi 15 mai 2015
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