"Le Festival de Cannes avait promis un nouveau regard sur la Shoah. Ce
qui est sûr, c’est qu’on n’a jamais vu un tel film. Dans son premier
long métrage « Le Fils de Saul », présenté ce vendredi 15 mai et en lice
pour la Palme d’or, le jeune réalisateur hongrois László Nemes montre
l’horreur des chambres à gaz à Auschwitz-Birkenau avec les yeux d’un
membre des Sonderkommando en 1944.
Il n'est pas sûr que Claude Lanzmann apprécie… Le réalisateur du documentaire monumental Shoah
refusait de reconstituer visuellement l’inimaginable pour laisser
parler les survivants de la machine de mort industrielle construite par
les nazis. Le Hongrois László Nemes va dans son premier long métrage
droit au cœur de la « solution finale ». Il met en scène et
« reconstitue » l’atmosphère visuelle et sonore vécue par un membre des Sonderkommando pendant l’extermination systématique des juifs dans les chambres à gaz." La suite sur rfi.fr
dimanche 17 mai 2015
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