"La poétesse hongroise regarde la vie et les choses pour laisser filtrer l’inattendu.
Laisser s’infiltrer l’inattendu, s’attarder sur les petites choses, les
détails où se cachent souvent des secrets, des histoires enterrées, le
sens d’une existence. Krisztina Toth s’exprime d’une voix douce et
retenue, dans un français perfectionné à Paris, entre 1992 et 1993,
grâce à une bourse de la Fondation Soros. Très tôt, à l’âge de 11 ans,
elle a commencé à jouer avec les mots. « J’ai toujours senti le besoin de m’exprimer. Écrire, dit-elle, c’est transformer ce que l’on voit ou ce que l’on ressent. »" La suite sur la-croix.com
vendredi 26 août 2016
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