jeudi 25 août 2016

Budapest, les fantômes d’un passé imparfait

"EUROPE CENTRALE, LA PASSION DE L’IDENTITÉ (4/5). Vingt-sept ans après la fin du communisme, la capitale hongroise revisite son histoire tumultueuse. Pour consolider son hégémonie idéologique, le régime laboure le terrain de la culture.
C’est un vaste chantier, dissimulé derrière des palissades, sur la colline du château de Buda. Une fois réhabilité et transformé, l’ancien couvent des Carmélites, reconverti en casino et en théâtre sur ordre de l’empereur Joseph II en 1784, abritera les bureaux du premier ministre. À côté du palais Sandor, résidence officielle du président de la République, et du Palais royal, ancienne résidence des rois de Hongrie, Viktor Orban bénéficiera d’une vue imprenable sur Budapest et les eaux bleues du Danube. Tout un symbole." La suite sur la-croix.com

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