"A l’égard de Donald Trump, Viktor Orban
ne sait trouver que des mots doux. Que ce soit en juillet, devant des
militants du Fidesz, le parti qu’il dirige. Ou début août, devant des
journalistes, en conférence de presse. Le premier ministre hongrois
tresse des couronnes de laurier à un « brave candidat », dont
l’accession à la Maison Blanche serait, selon l’enfant terrible de la
famille européenne, une bénédiction pour le Vieux Continent.
Un drôle de positionnement pour le chef de gouvernement de l’un de ces petits pays membres de l’Alliance atlantique (OTAN) indirectement visés par le candidat républicain, qui a récemment critiqué la faiblesse de leur contribution militaire à l’effort collectif de défense." La suite sur lemonde.fr (version payante)
Un drôle de positionnement pour le chef de gouvernement de l’un de ces petits pays membres de l’Alliance atlantique (OTAN) indirectement visés par le candidat républicain, qui a récemment critiqué la faiblesse de leur contribution militaire à l’effort collectif de défense." La suite sur lemonde.fr (version payante)
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