"Par Catherine Feidt
En 1975, après six mois de visites, démarches, papiers et entretiens au consulat de Hongrie à Paris j’eus enfin l’autorisation de rejoindre mon mari, étudiant en médecine. Le 11 septembre je débarquai de l’Orient-Express à Budapest. Je devais y passer une année scolaire de préparation pour apprendre le hongrois avant de me présenter au concours d’entrée d’une Université.
Dès le lendemain de mon arrivée on me prit mon passeport que l’on remplaça par une feuille A4 chargée d’un texte hongrois totalement incompréhensible pour moi. À l’époque je ne connaissais qu’un mot, et encore, à l’envers : szökönöm au lieu de köszönöm (merci). Cette feuille, je devais la présenter en cas de contrôle d’identité. Au bout de deux mois on me rendit mon passeport accompagné d’un petit livret à mon nom avec photo, adresse, profession, nom de jeune fille de ma mère, lieu d’étude ou de travail." La suite sur hu-lala.org
dimanche 26 février 2017
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.