"Métronome du Onze d’or hongrois distillant des amours de caviars pour
Kocsis et Puskás, l’un des premiers neuf et demi de l'histoire s’est
éteint il y a quasiment quinze ans le jour de la Saint-Valentin. Du MTK
Budapest révolutionnaire de Bukovi au triplé lors du « match du siècle »
en passant par une transfusion miracle et un film de propagande, le
culte du « Vieux » également vainqueur de la Coupe des coupes avec la
Fio et artisan de la résurrection d’Al-Ahly sur les bords du Nil a
traversé les décennies.
« Hidegkuti a rendu son dernier souffle en février 2002, trois semaines avant son 80e
anniversaire. Le deuil s’est propagé d’Óbuda à Berne, du boulevard
Hungária à Florence, du Caire à Győr, partout sur la planète Terre. Le
meneur de jeu légèrement reculé par rapport à la position classique du
dix s’est ancré de lui-même dans un coin : celui du patrimoine mondial
du football. » En dépit de sa plume laudative, Iván Hegyi exagère à peine lorsqu'il rend hommage au gouvernail du Onze d’or
huit ans après sa mort dans un supplément week-end du journal de gauche Népszabadság aujourd’hui disparu." La suite sur sofoot.com
mardi 21 février 2017
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