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Le soldat à la fleur (Virágos katona) de Nándor Gion (1941-2002)
Ce roman constitue le premier volet
d’une tétralogie intitulée Il a joué même devant les larrons, où
l’auteur décrit la vie de son village en Voïvodine, au travers du
quotidien de plusieurs familles sur plusieurs générations, de 1898
jusqu’au milieu du XXe siècle. Avec Le Soldat à la fleur, publié en
1973, on est à la veille de la Première Guerre mondiale. Szenttamás,
village agricole, vit au rythme des saisons, du dur labeur sur les
terres. Les pauvres y côtoient les mieux lotis, les populations
allemandes, hongroises et serbes cohabitent tant bien que mal. István,
adolescent rêveur, veut échapper à ce monde auquel il paraît destiné,
lorsqu’il découvre sur l’une des peintures de la Passion un soldat
romain singulier, arborant une fleur jaune brodée sur son uniforme.
L’expression heureuse du soldat devient pour lui une véritable
obsession...
La présentation du livre par son
préfacier, András Kányádi, sera suivie d’un entretien avec Gabrielle
Watrin, la traductrice qui recevra à cette occasion le Prix Nicole
Bagarry-Karatson.
Traduction parue en 2018 aux éditions des Syrtes, Genève.
Traduction parue en 2018 aux éditions des Syrtes, Genève.
Entrée libre
Lauréats 2003-2018
Marc Martin (2003) pour La mort seul à seul (Saját halál) de Péter Nádas;
Chantal Philippe (2005) pour La porte (Az ajtó) de Magda Szabó;
Françoise Bougeard (2006) pour Ennemi public (Közellenség) d’István Tasnádi;
Joëlle Dufeuilly (2007) pour La mélancolie de la résistance (Az ellenállás melankóliája) de László Krasznahorkai;
Clara Royer (2008) pour Miséricorde (Irgalom) de Pap Károly;
Georges Kornheiser (2009) pour les Poèmes d’Endre Ady;
Sophie Aude (2010) pour Précipice (Szakadék) et L’histoire d’une solitude (Egy magány története) de Milán Füst ;
Guillaume Métayer (2011) pour Deux fois deux (Kétszer kettő) d’István Kemény.
En 2012, en raison de l’ampleur exceptionnelle de la tâche accomplie, Marc Martin assisté par Sophie Aude ont partagé le prix pour Histoires parallèles (Párhuzamos történetek) de Péter Nádas;
Jean-Louis Vallin (2014) pour La Zrinyiade ou Le péril de Sziget (Szigeti veszedelem, 1651), épopée baroque en vers de Miklós Zrinyi;
Sophie Kepes (2015) pour Seul l’assassin était innocent (Bűnügy) de Júlia Székely et de Kornél Esti (Esti Kornél) de Dezső Kosztolányi ;
Thierry Loisel (2017) pour Néron le poète sanglant (Néró a véres költő) et Langue et âme (Nyelv és lélek) de Dezső Kosztolányi;
Catherine Faÿ (2018) pour Dernier jour à Budapest (Szinbád hazamegy) , Albin Michel, 2017, de Sándor Márai;
Gabrielle Watrin (2019) pour Le soldat à la fleur (Virágos katona), Éditions des Syrtes, 2018, de Nándor Gion
Chantal Philippe (2005) pour La porte (Az ajtó) de Magda Szabó;
Françoise Bougeard (2006) pour Ennemi public (Közellenség) d’István Tasnádi;
Joëlle Dufeuilly (2007) pour La mélancolie de la résistance (Az ellenállás melankóliája) de László Krasznahorkai;
Clara Royer (2008) pour Miséricorde (Irgalom) de Pap Károly;
Georges Kornheiser (2009) pour les Poèmes d’Endre Ady;
Sophie Aude (2010) pour Précipice (Szakadék) et L’histoire d’une solitude (Egy magány története) de Milán Füst ;
Guillaume Métayer (2011) pour Deux fois deux (Kétszer kettő) d’István Kemény.
En 2012, en raison de l’ampleur exceptionnelle de la tâche accomplie, Marc Martin assisté par Sophie Aude ont partagé le prix pour Histoires parallèles (Párhuzamos történetek) de Péter Nádas;
Jean-Louis Vallin (2014) pour La Zrinyiade ou Le péril de Sziget (Szigeti veszedelem, 1651), épopée baroque en vers de Miklós Zrinyi;
Sophie Kepes (2015) pour Seul l’assassin était innocent (Bűnügy) de Júlia Székely et de Kornél Esti (Esti Kornél) de Dezső Kosztolányi ;
Thierry Loisel (2017) pour Néron le poète sanglant (Néró a véres költő) et Langue et âme (Nyelv és lélek) de Dezső Kosztolányi;
Catherine Faÿ (2018) pour Dernier jour à Budapest (Szinbád hazamegy) , Albin Michel, 2017, de Sándor Márai;
Gabrielle Watrin (2019) pour Le soldat à la fleur (Virágos katona), Éditions des Syrtes, 2018, de Nándor Gion
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