"Après Gyöngyöspata moins d'un mois plus tôt, c’est à Hejöszalonta, dans le Nord-est de la Hongrie, que Jobbik a mobilisé ses sympathisants et ses associations d’« autodéfense », samedi soir, pour provoquer et accuser collectivement l’ensemble de la communauté tsigane du meurtre d’une femme du village.
Toutes les entrées de ce petit village du département de Borsod-Abauj-Zemplén ont été bouclées par la police et plusieurs dizaines de policiers anti-émeutes ont été mobilisés, pour éviter que la situation, déjà tendue, ne dégénère en affrontement direct entre Roms et manifestants d'extrême-droite. La rue dans laquelle se concentre les Roms, en périphérie du village, a été évacuée, contre leur volonté, car ils avaient prévu de protéger eux-mêmes leurs habitations en formant une chaîne humaine le long du parcours de Jobbik." La suite sur hu-lala.org
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