Par Pierre Waline
"Venant d’apprendre en cette soirée du 19 juin le décès de Gyula Horn, je vois déjà venir de la part de certains des remarques cyniques, comme celle, par exemple, par laquelle la députée Mária Widmer avait en son temps appelé de toutes ses forces la disparition de « ce bourreau qui coule scandaleusement ses jours dans un hôpital aux frais du contribuable, alors qu’il ferait mieux d’avoir le bon goût de mourir ». Sic. Mais puissé-je me tromper. Car la première réaction officielle du gouvernement hongrois - qui a immédiatement exprimé ses condoléances aux proches de l’ancien premier ministre - aura au moins apporté une touche de dignité pour une fois bienvenue." La suite sur francianyelv.hu
jeudi 20 juin 2013
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