"Critiqué pour ses atteintes à la démocratie, le gouvernement conservateur de Viktor Orban tente de satisfaire la Commission européenne. Il a lâché du lest sur le dossier le plus polémique.
Un échec suffit. En novembre 2012, la Cour européenne de justice,
établie à Luxembourg, avait condamné la loi hongroise forçant 350 juges,
procureurs et notaires à partir en retraite anticipée, la jugeant,
comme la Commission européenne, discriminatoire.
Le premier
ministre hongrois Viktor Orban ne veut pas subir un nouvel affront,
alors que son parti de droite au pouvoir, le Fidesz, continue d’être
accusé d’abuser de sa majorité des deux tiers au Parlement pour museler
l’opposition, restreindre l’indépendance de la justice, limiter la
liberté des médias ou encore criminaliser les sans-abri." La suite sur la-croix.com
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