"Ces brutalités, dénoncées dès 2016 par le Haut Commissariat des Nations unies aux réfugiés et par Human Rights Watch, se seraient aggravées depuis cet hiver.
Des douzaines de conteneurs bleus sagement alignés et équipés d’air
conditionné, des douches, une infirmerie… Le tout entouré de barbelés,
même sur les toits. Dans le sud de la Hongrie, les «zones de transit» de
Röszke et de Tompa, des camps en plein air récemment aménagés pour
recevoir à partir du 1er avril les quelque 400 demandeurs d’asile actuellement dans le pays, ressemblent à une prison 4 étoiles.
Pourtant, le droit international interdit d’emprisonner les
demandeurs d’asile. Pour György Bakondi, conseiller du Premier ministre
Viktor Orbán pour la sécurité intérieure, il s’agit de remédier aux «failles» du système d’asile européen : «Jusqu’ici, les migrants qui demandaient l’asile étaient hébergés dans des centres d’accueil, dont on peut sortir librement, explique-t-il à Libération. Mais
certains, sans attendre que leur demande soit instruite, en profitaient
pour filer vers l’Autriche, l’Allemagne et la Suède. Et maintenant ces
trois pays veulent nous les renvoyer !» Selon lui, un demandeur
d’asile qui profite de la liberté qui lui est laissée pour quitter le
pays abuse du droit communautaire." La suite sur liberation.fr
vendredi 31 mars 2017
Des migrants racontent leur odyssée de violence
"Les matraques policières et les crocs des chiens pour les repousser, les
coups des passeurs pour les dépouiller: des migrants racontent la
violence de leur odyssée, une fois arrivés en Europe.
"Je ne pouvais imaginer que la police européenne puisse être si violente", dit Najim Khan, maçon pakistanais de 21 ans, rencontré dans un parc de Belgrade. Ils sont 8.000 piégés en Serbie par la fermeture en mars 2016 des frontières de l'Union européenne, et la coupure de la "route des Balkans".
Mis en cause par les migrants et les ONG, les gouvernements croate, bulgare et hongrois réfutent ces accusations. Assurant n'avoir "aucune preuve" de dérapages, Zagreb a promis des sanctions s'ils étaient avérés. Budapest dit traiter "les migrants humainement et avec respect pour leur dignité humaine". Sofia explique avoir vérifié "tous les cas rapportés", "jamais ils n'ont été confirmés".
Najim Khan est passé par la Bulgarie. Il y a quelques semaines, un soir, la police a fait irruption dans son squat de Sofia, dit-il. "Ils nous ont battus, nous ont amenés dans un commissariat, puis dans un centre fermé. Sur les trajets, ils nous battaient encore", assure-t-il.
Passé en Serbie, il pense entrer dans l'UE une nuit de fin février, malgré une sécurité renforcée à la frontière avec la Hongrie. Son groupe est repéré par des policiers hongrois. "Ils nous ont mis à plat ventre, en ligne. Ils nous couraient sur le dos en riant", "ils jetaient de la bière aux visages", affirme le jeune homme. "Ils ont pris nos portables, les ont cassés. Ils ne nous ont pas pris notre argent", poursuit-il." La suite sur levif.be
"Je ne pouvais imaginer que la police européenne puisse être si violente", dit Najim Khan, maçon pakistanais de 21 ans, rencontré dans un parc de Belgrade. Ils sont 8.000 piégés en Serbie par la fermeture en mars 2016 des frontières de l'Union européenne, et la coupure de la "route des Balkans".
Mis en cause par les migrants et les ONG, les gouvernements croate, bulgare et hongrois réfutent ces accusations. Assurant n'avoir "aucune preuve" de dérapages, Zagreb a promis des sanctions s'ils étaient avérés. Budapest dit traiter "les migrants humainement et avec respect pour leur dignité humaine". Sofia explique avoir vérifié "tous les cas rapportés", "jamais ils n'ont été confirmés".
Najim Khan est passé par la Bulgarie. Il y a quelques semaines, un soir, la police a fait irruption dans son squat de Sofia, dit-il. "Ils nous ont battus, nous ont amenés dans un commissariat, puis dans un centre fermé. Sur les trajets, ils nous battaient encore", assure-t-il.
Passé en Serbie, il pense entrer dans l'UE une nuit de fin février, malgré une sécurité renforcée à la frontière avec la Hongrie. Son groupe est repéré par des policiers hongrois. "Ils nous ont mis à plat ventre, en ligne. Ils nous couraient sur le dos en riant", "ils jetaient de la bière aux visages", affirme le jeune homme. "Ils ont pris nos portables, les ont cassés. Ils ne nous ont pas pris notre argent", poursuit-il." La suite sur levif.be
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Le Hongrois Orban s'en prend à la politique d'asile européenne
"Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban,
s'est attaqué à la politique d'asile de l'Union européenne, à
l'occasion du congrès annuel du Parti populaire européen (PPE), qui
fédère les partis de droite, à Malte. Au sujet de la vague de réfugiés
arrivée en 2015 et 2016 en Europe, il a souligné le danger d'un
continent « dominé par l'islam », assurant que « l'identité chrétienne » était en danger." La suite sur lesechos.fr
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Mise en détention systématique des migrants en Hongrie - Communiqué de l'Ambassadeur de Hongrie à l'AFP du 30 mars 2017
Chers Amis,
Nous portons à votre connaissance l’email que Monsieur l’Ambassadeur Georges Károlyi a adressé hier, jeudi 30 mars 2017, à l’Agence France-Presse.
«A l’attention de la Direction de la Rédaction et du Service International
Votre dépêche sur la « mise en détention systématique des migrants en Hongrie » a été reprise par de très nombreux médias. Afin d’éviter tout malentendu sur l’interprétation à donner de la décision du gouvernement hongrois, je souhaite vous faire savoir ce qui suit :
- Le terme « mise en détention » appliqué aux zones de transit mises en place est impropre, sauf à considérer qu’un voyageur qui attend dans la zone de transit d’un aéroport que ses papiers soient examinés se considère comme « mis en détention » ;
- L’interprétation à la charge de la Hongrie de la statistique intitulée « primo-demandeurs d’asile » figurant dans votre graphique est exactement l’erreur à ne pas commettre : en effet, s’il n’y a eu que 1,1% de demandes acceptées, c’est que les 98,9 autres % ont été déposées par des migrants qui, profitant de la liberté de circulation qui leur était laissée, ont quitté la Hongrie avant l’instruction de leur demande pour se retrouver dans un autre pays (principalement l’Allemagne), ce qui a obligé l’administration hongroise à clôturer leur dossier. Pour cette raison, vous comprendrez que comparer ce 1,1% avec les 66,3% de l’Allemagne n’a aucun sens. Comparer un pays de transit comme la Hongrie avec un pays de destination comme l’Allemagne revient à comparer des torchons et des serviettes, et à donner de la Hongrie, de manière totalement artificielle, une image de sévérité vis-à-vis des réfugiés face à la « généreuse » Allemagne. Si les demandeurs disparus étaient restés en Hongrie, comme du reste la convention de Dublin les oblige, il y a fort à parier que le 1,1% hongrois aurait été bien plus élevé et le 66,3% allemand, bien plus faible.
- En ce qui concerne les kilométrages de clôture, il y en a presque autant sur le territoire de l’agglomération de Calais (en additionnant la protection de la rocade et celle du périmètre d’Eurotunnel) que sur la totalité de la frontière hungaro-serbe…
Je me permets également de vous préciser que le ministère de l’Intérieur hongrois a démenti mercredi 29 mars par communiqué l’assertion du Comité Helsinki selon laquelle la Cour Européenne des Droits de l’Homme aurait « bloqué » le transfert de 8 mineurs et d’une femme enceinte vers les zones de transit. Etant donné qu’aucune décision dans ce sens n’a été prise à ce jour par le gouvernement hongrois, il n’y a en effet rien à « bloquer ». Par ailleurs, la procédure à laquelle est soumise cette Cour rend impossible tout « référé » de cette nature.
Nous comprenons parfaitement l’activisme des ONG dans leur domaine de compétence, mais à trop les écouter unilatéralement on risque de passer à côté de la vérité.
Avec l’expression de mes meilleurs sentiments,
Georges Károlyi
Ambassadeur de Hongrie »
Nous portons à votre connaissance l’email que Monsieur l’Ambassadeur Georges Károlyi a adressé hier, jeudi 30 mars 2017, à l’Agence France-Presse.
«A l’attention de la Direction de la Rédaction et du Service International
Votre dépêche sur la « mise en détention systématique des migrants en Hongrie » a été reprise par de très nombreux médias. Afin d’éviter tout malentendu sur l’interprétation à donner de la décision du gouvernement hongrois, je souhaite vous faire savoir ce qui suit :
- Le terme « mise en détention » appliqué aux zones de transit mises en place est impropre, sauf à considérer qu’un voyageur qui attend dans la zone de transit d’un aéroport que ses papiers soient examinés se considère comme « mis en détention » ;
- L’interprétation à la charge de la Hongrie de la statistique intitulée « primo-demandeurs d’asile » figurant dans votre graphique est exactement l’erreur à ne pas commettre : en effet, s’il n’y a eu que 1,1% de demandes acceptées, c’est que les 98,9 autres % ont été déposées par des migrants qui, profitant de la liberté de circulation qui leur était laissée, ont quitté la Hongrie avant l’instruction de leur demande pour se retrouver dans un autre pays (principalement l’Allemagne), ce qui a obligé l’administration hongroise à clôturer leur dossier. Pour cette raison, vous comprendrez que comparer ce 1,1% avec les 66,3% de l’Allemagne n’a aucun sens. Comparer un pays de transit comme la Hongrie avec un pays de destination comme l’Allemagne revient à comparer des torchons et des serviettes, et à donner de la Hongrie, de manière totalement artificielle, une image de sévérité vis-à-vis des réfugiés face à la « généreuse » Allemagne. Si les demandeurs disparus étaient restés en Hongrie, comme du reste la convention de Dublin les oblige, il y a fort à parier que le 1,1% hongrois aurait été bien plus élevé et le 66,3% allemand, bien plus faible.
- En ce qui concerne les kilométrages de clôture, il y en a presque autant sur le territoire de l’agglomération de Calais (en additionnant la protection de la rocade et celle du périmètre d’Eurotunnel) que sur la totalité de la frontière hungaro-serbe…
Je me permets également de vous préciser que le ministère de l’Intérieur hongrois a démenti mercredi 29 mars par communiqué l’assertion du Comité Helsinki selon laquelle la Cour Européenne des Droits de l’Homme aurait « bloqué » le transfert de 8 mineurs et d’une femme enceinte vers les zones de transit. Etant donné qu’aucune décision dans ce sens n’a été prise à ce jour par le gouvernement hongrois, il n’y a en effet rien à « bloquer ». Par ailleurs, la procédure à laquelle est soumise cette Cour rend impossible tout « référé » de cette nature.
Nous comprenons parfaitement l’activisme des ONG dans leur domaine de compétence, mais à trop les écouter unilatéralement on risque de passer à côté de la vérité.
Avec l’expression de mes meilleurs sentiments,
Georges Károlyi
Ambassadeur de Hongrie »
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Colours In The Street veut aller au Sziget
"Connaissez-vous le Sziget Festival ? Organisé à Budapest, depuis
vingt-cinq ans, c'est le plus grand festival d'Europe, avec près de
500.000 festivaliers.
Cette année, le festival organise un grand tremplin, via Facebook, avec vote des internautes. Et, parmi les dix groupes présélectionnés figurent les Poitevins de Colours In The Street.
Quatre finalistes
Le 26 mars, sous le titre « Emmenez-nous au Sziget Festival », le groupe postait ce message sur sa page Facebook : « Coucou tout le monde, il ne reste plus qu'une semaine pour nous soutenir ! On a besoin de vous plus que jamais ! Parlez-en à vos amis, merci à toutes et tous ! » " La suite sur lanouvellerepublique.fr
Cette année, le festival organise un grand tremplin, via Facebook, avec vote des internautes. Et, parmi les dix groupes présélectionnés figurent les Poitevins de Colours In The Street.
Quatre finalistes
Le 26 mars, sous le titre « Emmenez-nous au Sziget Festival », le groupe postait ce message sur sa page Facebook : « Coucou tout le monde, il ne reste plus qu'une semaine pour nous soutenir ! On a besoin de vous plus que jamais ! Parlez-en à vos amis, merci à toutes et tous ! » " La suite sur lanouvellerepublique.fr
C'est comment ailleurs ? Le méga-festival Sziget en Hongrie
"Alors que l'homme d'affaire Matthieu Pigasse rachète Rock en Seine, l'un des plus gros festivals français, franceinfo s’intéresse au festival hongrois qui rassemble 500 000 personnes en été.
Ce festival s'appelle de Sziget et se déroule à Budapest, dans l'une des deux îles qui se trouvent sur le Danube, l’île d'Obuda, dans un cadre verdoyant. Certains l'appellent le "Woodstock européen", en raison de sa taille, de son aspect bucolique et de son état d'esprit très cool. Les plus grosses pointures de la galaxie pop s'y croisent, comme Rihanna en 2016.
Un demi-siècle d’existenceLe festival existe depuis 1993. Il a commencé tout petit. Le fondateur du Sziget était une rock star locale. L'ambiance était libertaire, avec des gens avides de nouvelles musiques, quelques années seulement après la chute du communisme. Puis, le développement a été rapide et le Sziget est devenu un monument, sacré à plusieurs reprises meilleur festival européen." La suite sur francetvinfo.fr
Ce festival s'appelle de Sziget et se déroule à Budapest, dans l'une des deux îles qui se trouvent sur le Danube, l’île d'Obuda, dans un cadre verdoyant. Certains l'appellent le "Woodstock européen", en raison de sa taille, de son aspect bucolique et de son état d'esprit très cool. Les plus grosses pointures de la galaxie pop s'y croisent, comme Rihanna en 2016.
Un demi-siècle d’existenceLe festival existe depuis 1993. Il a commencé tout petit. Le fondateur du Sziget était une rock star locale. L'ambiance était libertaire, avec des gens avides de nouvelles musiques, quelques années seulement après la chute du communisme. Puis, le développement a été rapide et le Sziget est devenu un monument, sacré à plusieurs reprises meilleur festival européen." La suite sur francetvinfo.fr
Hongrie : Un nouveau rapport dénonce six années d’atteintes à l’Etat de droit et appelle une réaction de l’UE
"Les droits humains et l’État de droit en Hongrie ont fait l’objet
d’attaques soutenues depuis l’accession au pouvoir du Premier Ministre
Viktor Orbán, en 2010, révèle la FIDH dans un nouveau rapport publié aujourd’hui.
La FIDH exhorte le gouvernement hongrois à mettre fin à ces atteintes
répétées et demande une réaction forte et immédiate de l’Union
européenne, allant au besoin jusqu’à la mise en œuvre de l’Article 7 du
Traité sur l’Union européenne ; ce qui pourrait conduire à la suspension
de certains droits de la Hongrie au sein du Conseil de l’Union
européenne.
“Ces attaques portent atteinte à la démocratie en Hongrie mais aussi aux valeurs et principes fondateurs de l’Union européenne.Si aucune mesure n’est prise, c’est tout le projet de l’Union européenne en tant que communauté de valeurs qui est remis en cause”
“Ces attaques portent atteinte à la démocratie en Hongrie mais aussi aux valeurs et principes fondateurs de l’Union européenne.Si aucune mesure n’est prise, c’est tout le projet de l’Union européenne en tant que communauté de valeurs qui est remis en cause”
Dan Van Raemdonck, secrétaire général de la FIDH" La suite sur fidh.org
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jeudi 30 mars 2017
Georg Lukacs déboulonné, ou la mémoire hongroise en péril
"Une statue du philosophe marxiste va être
enlevée du centre de Budapest. Signe de la révision de l’histoire en
cours sur ces rives du Danube.
Depuis quelques années, les statues
tombent à Budapest. Il y a trois mois, sur une initiative du Jobbik
(parti d’extrême droite), appuyée par le Fidesz, parti du président
Viktor Orban, et par des membres de l’opposition démocratique, le
conseil municipal de Budapest a décidé de retirer la statue de Georg
Lukacs. Depuis 1985, le philosophe marxiste trônait dans le parc
Szent-Istvan, dans un ancien quartier juif du centre de la capitale.
Né à Budapest, dans une famille juive, Georg Lukacs (1885-1971) est un personnage central et controversé de l’histoire hongroise contemporaine. Philosophe et essayiste de langue allemande, Lukacs est avant tout célèbre pour son approche sociologique de la littérature. Sa Théorie du roman (Denoël, 1968) a conceptualisé le genre romanesque comme « l’épopée d’un monde sans dieux », le combat de l’individu face à un monde hostile.
Se tournant par la suite vers une réflexion de plus en plus politique, Lukacs a défendu un réalisme littéraire à la Balzac, capable de saisir le mouvement des classes sociales (Balzac et le réalisme, François Maspero, 1967). Penseur du marxisme (Histoire et conscience de classe, Minuit, 1960), Lukacs est surtout connu dans son pays pour ses activités politiques. Commissaire de l’Armée rouge hongroise, en 1919, sous la République des conseils, puis ministre de la culture, en 1956, avant l’intervention soviétique, Lukacs entretenait des liens complexes et douloureux avec le communisme." La suite sur lemonde.fr (version payante)
Né à Budapest, dans une famille juive, Georg Lukacs (1885-1971) est un personnage central et controversé de l’histoire hongroise contemporaine. Philosophe et essayiste de langue allemande, Lukacs est avant tout célèbre pour son approche sociologique de la littérature. Sa Théorie du roman (Denoël, 1968) a conceptualisé le genre romanesque comme « l’épopée d’un monde sans dieux », le combat de l’individu face à un monde hostile.
Se tournant par la suite vers une réflexion de plus en plus politique, Lukacs a défendu un réalisme littéraire à la Balzac, capable de saisir le mouvement des classes sociales (Balzac et le réalisme, François Maspero, 1967). Penseur du marxisme (Histoire et conscience de classe, Minuit, 1960), Lukacs est surtout connu dans son pays pour ses activités politiques. Commissaire de l’Armée rouge hongroise, en 1919, sous la République des conseils, puis ministre de la culture, en 1956, avant l’intervention soviétique, Lukacs entretenait des liens complexes et douloureux avec le communisme." La suite sur lemonde.fr (version payante)
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Le gouvernement hongrois s’en prend à « l’université Soros »
"Depuis plusieurs mois, Viktor Orban a
intensifié son offensive contre l’Université d’Europe centrale. Il
accuse notamment son fondateur, le philanthrope américain d’origine
hongroise George Soros, de financer l’opposition.
Après les attaques contre les
organisations non gouvernementales (ONG) et les médias, au tour des
universités ? Le gouvernement hongrois, dirigé par l’ultraconservateur
Viktor Orban, a présenté, mardi 28 mars, un projet de loi qui pourrait
entraîner la fermeture de l’une des institutions universitaires les plus
emblématiques du pays, l’Université d’Europe centrale (CEU en anglais).
Fondée par le philanthrope américain d’origine hongroise George Soros, la CEU estime que le texte, s’il était adopté, « rendrait impossible » une continuation de ses activités dans le pays, parce qu’il annulerait notamment l’accord entre l’Etat de New York et la Hongrie, qui lui permet de délivrer des diplômes reconnus par les deux systèmes.
Depuis plusieurs mois, M. Orban a intensifié une vaste offensive contre George Soros, qu’il accuse de financer l’opposition. Parmi ses cibles figurent notamment les ONG de défense des libertés ou de protection des demandeurs d’asile, souvent en partie subventionnées par la célèbre fondation du milliardaire, l’Open Society Foundations (OSF). Des « activistes payés par des organisations internationales » pour « faire venir des centaines de milliers de migrants en Europe », a dénoncé M. Orban en février." La suite sur lemonde.fr (version payante)
Fondée par le philanthrope américain d’origine hongroise George Soros, la CEU estime que le texte, s’il était adopté, « rendrait impossible » une continuation de ses activités dans le pays, parce qu’il annulerait notamment l’accord entre l’Etat de New York et la Hongrie, qui lui permet de délivrer des diplômes reconnus par les deux systèmes.
Depuis plusieurs mois, M. Orban a intensifié une vaste offensive contre George Soros, qu’il accuse de financer l’opposition. Parmi ses cibles figurent notamment les ONG de défense des libertés ou de protection des demandeurs d’asile, souvent en partie subventionnées par la célèbre fondation du milliardaire, l’Open Society Foundations (OSF). Des « activistes payés par des organisations internationales » pour « faire venir des centaines de milliers de migrants en Europe », a dénoncé M. Orban en février." La suite sur lemonde.fr (version payante)
Série. Le petit village qui fait rire les Hongrois
"En choisissant de brocarder les campagnes magyares et leurs habitants, la série A mi kis falunk a trouvé son public. Mais si l’audience est au rendez-vous, la presse, elle, reste plutôt de marbre.
Un maire corrompu, mordu de pêche à la ligne. Sa secrétaire obsédée par la culture. Un prêtre bodybuildé. Une aubergiste sexy. Un policier simple d’esprit patrouillant à vélo avec gyrophare sur le guidon. Un vétérinaire soignant aussi les humains. Un entraîneur de foot fou de tuning qui fait du gringue à l’assistante de l’édile. Tels sont les avatars les plus baroques de la série hongroise A mi kis falunk (“Notre petit village”).
Diffusée du 2 février au 23 mars sur la chaîne privée magyare RTL Klub, elle réunit les mêmes ingrédients que la slovaque Horná Dolná (“Bas haut”), dont elle s’inspire largement : alcoolisme maladif, bigoterie invétérée et drague lourdingue sont au programme." La suite sur courrierinternational.com
Un maire corrompu, mordu de pêche à la ligne. Sa secrétaire obsédée par la culture. Un prêtre bodybuildé. Une aubergiste sexy. Un policier simple d’esprit patrouillant à vélo avec gyrophare sur le guidon. Un vétérinaire soignant aussi les humains. Un entraîneur de foot fou de tuning qui fait du gringue à l’assistante de l’édile. Tels sont les avatars les plus baroques de la série hongroise A mi kis falunk (“Notre petit village”).
Diffusée du 2 février au 23 mars sur la chaîne privée magyare RTL Klub, elle réunit les mêmes ingrédients que la slovaque Horná Dolná (“Bas haut”), dont elle s’inspire largement : alcoolisme maladif, bigoterie invétérée et drague lourdingue sont au programme." La suite sur courrierinternational.com
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Pour sa saison 2017-2018, l’Orchestre du Festival de Budapest (BFZ) se diversifie davantage encore (conférence de presse).
Par Pierre Waline
"S’il est un mot dont le chef Iván Fischer et les membres de son orchestre ne veulent à aucun prix entendre parler, c’est bien celui de routine. Bien au contraire, loin de se reposer sur leurs lauriers et de se contenter d’activités déjà bien variées, Fischer et ses musiciens réfléchissent sans cesse à élargir davantage encore la palette de leurs prestations. Telle, par exemple, la création au sein de l’Orchestre d’un ensemble baroque, dont quatre des membres nous interprétèrent, pour ouvrir la conférence de presse, une sonate de Telemann sur instruments anciens.
Qualifiant son orchestre de „plus beau pont de Budapest”, Iván Fischer rappela le lien étroit, le „pont”, que sa formation et lui-même s’emploient à tisser entre la Hongrie et l’Europe, entre les hommes, entre les hommes et la musique, entre l’Orchestre et son public. Pour ce faire, on connaît déjà les multiples activités déployées par la formation pour aller porter la musique aux tout jeunes („Concerts cacao”), aux enfants autistes, aux jeunes des discos („Midnight music”), aux familles (Pique-niques musicaux) ou encore aux plus âgés (maisons de retaite); également sur les différents lieux de culte (synagogues, temples, églises). Et la liste ne s’arrête pas là. Avec, pour cette saison, l’ouverture sur 25 écoles pour présenter la musique aux enfants. Une opération qui remporte toujours un vif succès: leur invitation à venir en salle de répétition où leur sont présentés les instruments qu’ils sont invités à essayer. Une façon ludique de les ouvrir au monde de la musique, de développer leur créativité, partant de favoriser indirectement une meilleure intégration dans la société. 500 enfants en auront profité." La suite sur francianyelv.hu
"S’il est un mot dont le chef Iván Fischer et les membres de son orchestre ne veulent à aucun prix entendre parler, c’est bien celui de routine. Bien au contraire, loin de se reposer sur leurs lauriers et de se contenter d’activités déjà bien variées, Fischer et ses musiciens réfléchissent sans cesse à élargir davantage encore la palette de leurs prestations. Telle, par exemple, la création au sein de l’Orchestre d’un ensemble baroque, dont quatre des membres nous interprétèrent, pour ouvrir la conférence de presse, une sonate de Telemann sur instruments anciens.
Qualifiant son orchestre de „plus beau pont de Budapest”, Iván Fischer rappela le lien étroit, le „pont”, que sa formation et lui-même s’emploient à tisser entre la Hongrie et l’Europe, entre les hommes, entre les hommes et la musique, entre l’Orchestre et son public. Pour ce faire, on connaît déjà les multiples activités déployées par la formation pour aller porter la musique aux tout jeunes („Concerts cacao”), aux enfants autistes, aux jeunes des discos („Midnight music”), aux familles (Pique-niques musicaux) ou encore aux plus âgés (maisons de retaite); également sur les différents lieux de culte (synagogues, temples, églises). Et la liste ne s’arrête pas là. Avec, pour cette saison, l’ouverture sur 25 écoles pour présenter la musique aux enfants. Une opération qui remporte toujours un vif succès: leur invitation à venir en salle de répétition où leur sont présentés les instruments qu’ils sont invités à essayer. Une façon ludique de les ouvrir au monde de la musique, de développer leur créativité, partant de favoriser indirectement une meilleure intégration dans la société. 500 enfants en auront profité." La suite sur francianyelv.hu
mercredi 29 mars 2017
La CEDH bloque le transfert de neuf migrants vers un camp de transit fermé en Hongrie
"La Cour européenne des droits de l'Homme a demandé mardi à Budapest
de suspendre le transfert de neuf migrants vers un camp de transit fermé
en Hongrie, où est entrée en vigueur la loi sur la détention des
migrants, a-t-on appris auprès de la Cour.
La CEDH, saisie en référé par le Comité Helsinki Hongrie, une ONG agissant à la demande de neuf migrants, a décidé lundi d'"appliquer l'article 39 (mesures provisoires) de son règlement dans deux affaires - l'une concernant huit mineurs et l'autre une femme enceinte", a-t-elle indiqué dans un courriel à l'AFP." La suite sur lorientlejour.com
La CEDH, saisie en référé par le Comité Helsinki Hongrie, une ONG agissant à la demande de neuf migrants, a décidé lundi d'"appliquer l'article 39 (mesures provisoires) de son règlement dans deux affaires - l'une concernant huit mineurs et l'autre une femme enceinte", a-t-elle indiqué dans un courriel à l'AFP." La suite sur lorientlejour.com
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Botka, le Hongrois qui défie Orbán
"László Botka incarne l'espoir, pour le parti
socialiste moribond, de battre le Premier ministre conservateur aux
législatives de 2018.
Quand il monte sur scène lors de ses meetings, ce gaillard charismatique en impose. László Botka,
désigné par le Parti socialiste pour porter ses couleurs aux élections
législatives, l'an prochain, a déjà fait ses preuves. Le jeune avocat
n'avait que 29 ans quand il a pris les rênes de la mairie de Szeged,
troisième ville du pays, en 2002.Il est le seul « grand » maire à avoir résisté aux vagues orange du parti conservateur Fidesz aux élections de 2010 et 2014. À 44 ans, Botka, marié à une pneumologue et père de trois filles, se trouve ainsi à la tête du dernier grand bastion socialiste du pays." La suite sur ouest-france.fr
Pál Frenák - Quand la danse met à nu...
"La danse contemporaine offre un cadre à la subjectivité
que chaque spectateur ne saurait interpréter qu'au travers de sa propre
expérience, ses références. Tricks & Tracks du chorégraphe Pál
Frenák a divisé son public vendredi soir...
Programmé
par l'Espace des Arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône au Théâtre du
Port Nord, Tricks & Tracks n'a pas laissé les spectateurs
indifférents ; beaucoup d'entre eux, à la fin de la représentation, se
sont lancés dans de grandes discussions opposant diatribes et termes les
plus élogieux.
Chorégraphie
"explicitement sexuelle plus encore qu'érotique", Pál Frenák s'empare du
mouvement "primaire" répété en prouesse des corps qui dansent et le
confronte au décor, blanc, soigné, peu à peu maculé de l'activité des
danseurs : sueur, traces, projections... Le geste et le muscle,
décortiqués jusqu'à en apercevoir la structure sous-cutanée,
jouent leur litanie de pulsions animales - "rébellion de la chair", nous
dit-on." La suite sur info-chalon.com
Migrations: le groupe de Visegrad dénonce "le chantage" européen
"Les chefs de gouvernement des pays du groupe de Visegrad (Pologne,
Hongrie, République tchèque et Slovaquie) ont dénoncé mardi "le
chantage" et "le diktat" européens à leur égard concernant la politique
migratoire commune.
Réunis à Varsovie, les Premier ministres des quatre pays qui refusent les quotas obligatoires de répartition de immigrés entre les pays de l'UE, ont fermement manifesté leur désaccord à l'idée de lier la distribution des fonds européens à l'adhésion à la politique migratoire commune." La suite sur leparisien.fr
Réunis à Varsovie, les Premier ministres des quatre pays qui refusent les quotas obligatoires de répartition de immigrés entre les pays de l'UE, ont fermement manifesté leur désaccord à l'idée de lier la distribution des fonds européens à l'adhésion à la politique migratoire commune." La suite sur leparisien.fr
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Algérie : La sous-traitance dans le secteur automobile intéresse la Hongrie
" «En Hongrie, nous avons un savoir-faire en matière de sous-traitance et nous pouvons vous proposer nos services», a suggéré Madame l’ambassadrice, Helga Pritz.
En poste depuis trois mois, l’ambassadrice de Hongrie a été l’hôte,
hier, de Constantine, l’espace d’une visite de prospection pour
d’éventuels partenariats économiques. Helga Pritz, qui a souligné
l’évolution politique de son pays et, par ricochet, l’orientation
économique qui s’en est suivie, est revenue sur les opportunités d’un
renforcement de la coopération bilatérale. Elle a égrené plusieurs
secteurs phares susceptibles d’intéresser l’Algérie, particulièrement
Constantine." La suite sur elwatan.com
Libellés :
Ambassade,
Automobile,
Economie,
Industrie,
Politique étrangère
Camps en Hongrie. L’UE rappelle les règles concernant les migrants
"La Commission européenne a rappelé ce mardi à la
Hongrie que la mise en place de camps destinés à interner les migrants à
sa frontière sud devait respecter les règles de l’Union européenne. La
mise en place des camps, avec 324 conteneurs situés dans deux « zones de
transit » à la frontière serbe, a pris effet mardi, a annoncé le
ministère de l’Intérieur hongrois.
Le commissaire européen chargé des questions migratoires,
Dimitris Avramopoulos, a dit avoir offert l’aide de l’UE aux autorités
hongroises pour s’assurer que les règles concernant les migrants soient
respectées.« Les principes acceptés ensemble et à l’unanimité par tous les États membres de l’UE doivent être respectés et appliqués par tout le monde », a-t-il dit lors d’une conférence de presse à l’issue d’un entretien avec des responsables du gouvernement." La suite sur ouest-france.fr
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Les 7èmes Journées du Film Francophone : Le JFB dresse son palmarès
"Le cinéma est à l’honneur dans le cœur du Journal Francophone de Budapest, qui a voulu lui être reconnaissant en attribuant des prix aux films projetés lors des 7ème Journées du Film Francophone. Le festival s’est tenu du 1er au 10 mars dans la splendide salle du cinéma Uránia, et celle plus intimiste d’Art+cinema, avec une programmation riche en belles découvertes.
JFB d’Or : Ma vie de courgette de Claude Barras, 2016
Nous décernons le JFB d’or au film d’animation Ma vie de courgette de Claude Barras pour l’incroyable tendresse qu’il parvient à nous communiquer malgré les thèmes difficiles qu’il introduit." La suite sur jfb.hu
JFB d’Or : Ma vie de courgette de Claude Barras, 2016
Nous décernons le JFB d’or au film d’animation Ma vie de courgette de Claude Barras pour l’incroyable tendresse qu’il parvient à nous communiquer malgré les thèmes difficiles qu’il introduit." La suite sur jfb.hu
mardi 28 mars 2017
Hongrie: la détention des migrants commence
"La loi hongroise de mise en détention systématique des migrants est
entrée en vigueur aujourd'hui, malgré les vives critiques des ONG de
défense des droits de l'homme, l'Union européenne appelant de son côté
au respect de ses "principes" humanitaires. Selon la nouvelle
législation, tous les demandeurs d'asile présents en Hongrie ou y
arrivant doivent être regroupés dans deux camps fermés installés à la
frontière serbe, à Röszke et à Tompa, a précisé le ministère de
l'Intérieur.
"A partir d'aujourd'hui, les zones de transit élargies fonctionnent 24 heures sur 24 pour les demandeurs d'asile", a annoncé György Bakondi, conseiller du Premier ministre Viktor Orban pour les affaires de sécurité intérieure. La mesure vise à "empêcher les migrants dont le statut n'est pas clairement défini de se déplacer librement sur le territoire national et au sein de l'Union européenne, et donc de réduire les risques sécuritaires liés aux migrations", selon le ministère." La suite sur lefigaro.fr
"A partir d'aujourd'hui, les zones de transit élargies fonctionnent 24 heures sur 24 pour les demandeurs d'asile", a annoncé György Bakondi, conseiller du Premier ministre Viktor Orban pour les affaires de sécurité intérieure. La mesure vise à "empêcher les migrants dont le statut n'est pas clairement défini de se déplacer librement sur le territoire national et au sein de l'Union européenne, et donc de réduire les risques sécuritaires liés aux migrations", selon le ministère." La suite sur lefigaro.fr
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Heineken plie devant Budapest et un petit brasseur roumain
"BRASSERIES Le géant néerlandais Heineken a annoncé ce lundi un «accord» dans le conflit de marques qui l’opposait à un petit brasseur de la minorité magyare de Roumanie, quelques jours après avoir été menacé de mesures de rétorsion par Budapest.
La multinationale avait obtenu en janvier de la justice roumaine que soit interdit à cette brasserie de Transylvanie, Lixid Project, d’utiliser le nom de bière «Csiki», en raison d’une similitude avec sa marque «Ciuc». Le nom «Csiki» renvoie à la région des Sicules, où vit une partie des 1,2 million de Magyars de Roumanie." La suite sur lavenir.net
Examen des moyens d’établir une ligne aérienne entre Tunis et Budapest
"L’identification d’un programme de travail pour la réalisation d’une
étude de faisabilité de la création d’une ligne aérienne reliant la
capitale Hongroise Budapest et la Tunisie, ont été au centre de
l’entretien qu’a eu lundi, à Tunis, le secrétaire d’Etat au transport
Hichem Ben Ahmed , avec le secrétaire d’Etat hongrois chargé de la
diplomatie économique Magyar Levente, selon un communiqué du ministère
du transport." La suite sur directinfo.webmanagercenter.com
Infractions routières : échanges d'informations avec la Hongrie et la Slovaquie
"L'Europe des contraventions routières poursuit son développement. Depuis
le 24 mars dernier, la France pratique les échanges transfrontaliers
d'informations sur les infractions routières avec deux nouveaux pays :
la Hongrie et la Slovaquie. Ces échanges permettent à la France de
poursuivre leurs ressortissants qui commettent des infractions routières
sur notre territoire. Réciproquement, les ressortissants français
commettant des infractions routières sur les routes hongroises et
slovaques peuvent être poursuivis par les autorités de ces deux pays." La suite sur boursorama.com
Diplomatie économique : La Tunisie sur les pas de la Hongrie
" « Quand on est un petit pays, il ne suffit pas d’être bon il faut être excellent ! », a déclaré lundi 27 mars 2017, Magyar Levente, secrétaire d’Etat Hongrois aux Affaires étrangères chargé de la diplomatie économique lors d’une conférence organisée au chef-lieu de la diplomatie Tunisienne. Le jeune trentenaire Hongrois y a passé en revue les avantages tirés de l’intégration de la politique étrangère classique à la diplomatie économique, une nouveauté mise en place dans son pays il y a trois ans. Un système institutionnel précurseur qui a permis à la Hongrie de tirer largement son épingle du jeu et que la Tunisie aurait grand intérêt à suivre….
C’est au siège du ministère tunisien des Affaires étrangères (MAE) que la conférence intitulée « Harmonisation de la politique étrangère et de la diplomatie économique » s’est tenue ce vendredi. Co-présidée par l’hôte Hongrois, Magyar Levente ; le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, Sabri Bachtobji ; le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères chargé de l’immigration et des Tunisiens à l’étranger, Radhouane Ayara et le ministre plénipotentiaire hors classe, chargé de mission au cabinet du ministre des Affaires étrangères, Tarek Azouz. La conférence a également réuni de nombreux ambassadeurs tel que l’ambassadeur de Hongrie en Tunisie, Zoltan Szent-Gyorgyi." La suite sur businessnews.com
C’est au siège du ministère tunisien des Affaires étrangères (MAE) que la conférence intitulée « Harmonisation de la politique étrangère et de la diplomatie économique » s’est tenue ce vendredi. Co-présidée par l’hôte Hongrois, Magyar Levente ; le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, Sabri Bachtobji ; le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères chargé de l’immigration et des Tunisiens à l’étranger, Radhouane Ayara et le ministre plénipotentiaire hors classe, chargé de mission au cabinet du ministre des Affaires étrangères, Tarek Azouz. La conférence a également réuni de nombreux ambassadeurs tel que l’ambassadeur de Hongrie en Tunisie, Zoltan Szent-Gyorgyi." La suite sur businessnews.com
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lundi 27 mars 2017
La Hongrie ne veut pas des migrants de la Suède
"La Suède est déterminée à renvoyer 5. 000 migrants dans leur pays d’arrivée, la Hongrie. Peine perdue! Cette dernière n’acceptera aucun retour.
Au cas où les autorités hongroises n'accepteraient pas d'accueillir les demandeurs d'asile envoyés en Suède, cette dernière pourrait porter plainte devant la Cour européenne, a annoncé le journal suédois Svenska dagbladet.
«On a reçu quelque 5 000 démarches administratives des personnes enregistrées comme des migrants en Hongrie. Pourtant, à chaque fois que nous essayons de les renvoyer dans leur pays d'arrivée, ils ne sont pas acceptés», a déclaré le ministre suédois des Migrations, Morgan Johansson, cité par le journal." La suite sur sputniknews.com
Au cas où les autorités hongroises n'accepteraient pas d'accueillir les demandeurs d'asile envoyés en Suède, cette dernière pourrait porter plainte devant la Cour européenne, a annoncé le journal suédois Svenska dagbladet.
«On a reçu quelque 5 000 démarches administratives des personnes enregistrées comme des migrants en Hongrie. Pourtant, à chaque fois que nous essayons de les renvoyer dans leur pays d'arrivée, ils ne sont pas acceptés», a déclaré le ministre suédois des Migrations, Morgan Johansson, cité par le journal." La suite sur sputniknews.com
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Le Fidesz veut ériger une statue de Lech Kaczyński à Budapest
"Máté Kocsis, le maire Fidesz du 8e arrondissement de Budapest, a proposé qu’une statue soit érigée dans la capitale hongroise en hommage au défunt président polonais Lech Kaczyński.L’annonce a été faite jeudi 23 mars, à l’occasion de la Journée
annuelle de l’Amitié hongro-polonaise. Soutenu par le maire de la ville
István Tarlós, le maire du 8e arrondissement Maté Kocsis a annoncé qu’il
allait proposer lors du conseil municipal de ce mercredi l’érection
d’une statue en souvenir de l’ancien président polonais Lech Kaczyński,
décédé en 2010." La suite sur hu-lala.org
Face à face : Fille de l'Est
"Dora Aranyas. 28 ans. A quitté la Hongrie il y a cinq
ans pour s’installer à Poitiers. A multiplié les expériences avant de
se former à la pratique du yoga. Considère les voyages comme une manière
d’en apprendre davantage sur les autres… Et sur elle-même.
Assise en tailleur sur son lit, Dora Aranyas
raconte son histoire sans qu’aucun accent ne trahisse ses origines. La
jeune Hongroise de 28 ans ne parlait pas un mot de français lorsqu’elle
est arrivée à Poitiers, il y a seulement cinq ans. Originaire de Szeged,
au sud de Budapest, elle a quitté le confort de son cocon familial et
amical par simple… curiosité. « C’est très cliché de dire ça, mais la culture française, surtout la cuisine, m’a toujours attirée, sourit-elle. J’ai
répondu à une annonce d’emploi de jeune fille au pair pour garder des
enfants dont la maman était aussi Hongroise. Et puis voilà ! » " La suite sur 7apoitiers.fr
La grève de la cocarde
"La cocarde tricolore ne fait plus l’unanimité en Hongrie le jour de la fête nationale. Peut-être parce que le pouvoir a dévoyé le patriotisme en nationalisme ?Mais où sont donc passées les cocardes ? Il y a dix ans, se promener
dans les rues de la capitale hongroise sans arborer sur la poitrine les
couleurs nationales piros-fehér-zöld un 15 mars, était quelque
chose d’un peu inconfortable. Dans les rues et dans les transports
publics, peu de gens sortaient sans la kokárda." La suite sur hu-lala.org
201 personnes sont mortes de froid cet hiver en Hongrie, dont un enfant de 11 ans
"Les chiffres de la mortalité liée au froid ont enfin été annoncés. Comme on le craignait, l’hiver extrêmement rigoureux qui a frappé l’Europe centrale et balkanique a été très meurtrier en Hongrie, où plus de deux cents personnes sont mortes d’hypothermie.Selon les chiffres annoncés
dimanche 26 mars par le Forum social hongrois (Magyar Szociális Fórum),
deux cents une personnes sont décédées en raison de l’exposition au
froid au cours de l’hiver 2016-17 en Hongrie. La victime la plus jeune
était un enfant de 11 ans et la plus âgée un homme de 93 ans." La suite sur hu-lala.org
Concert - Balázs Elemér Group 25 avril 2017 à 20h - Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation recommandée : reservation@instituthongrois.fr
Réservation recommandée : reservation@instituthongrois.fr
Fondé en 2000, Balázs Elemér Group est
l’une des formations jazz des plus connues en Hongrie. L’univers musical
du groupe se caractérise par sa rythmique particulière et son
engouement pour les mélodies. Le contraste entre le chant masculin et
féminin vient encore agrémenter cette musique hybride, produit de la
fusion de motifs musicaux issus de différentes cultures. Ils se
produisent régulièrement sur la scène hongroise et internationale,
accompagnés de grandes figures du jazz tels que Mihály Dresch, Tim Ries,
Charlie Mariano et Núria Rial.
Elemér Balázs – batterie
Flóra Kiss - chant
Milán Szakonyi – chant
József Balázs – piano
Áron Komjáti – guitare
Krisztián Pecek Lakatos- contrebasse
József Czibere - percussion
Flóra Kiss - chant
Milán Szakonyi – chant
József Balázs – piano
Áron Komjáti – guitare
Krisztián Pecek Lakatos- contrebasse
József Czibere - percussion
Entrée libre
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musique
Concours de traduction de l’Institut hongrois - Remise des prix 24 avril 2017 à 19h30
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Remise des prix aux lauréats
sélectionnés par le jury composé de Catherine Fay, traductrice
littéraire et András Kányádi, maître de conférences à l’INALCO. Pour la
troisième édition du concours, les candidats étaient invités à traduire
en français un extrait du roman Kommunista Monte Cristo de
Noémi Szécsi (Tercium kiadó, 2006 ; Európa Könyvkiadó, 2014), récompensé
par le Prix de littérature de l'Union européenne en 2009.
Entrée libre
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Conférence Le défi de la sécurité dans le monde d’aujourd’hui 11 avril 2017 à 19h30 Institut hongrois
Conférence en langue hongroise !
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
L’ordre du monde que nous pensions
inébranlable depuis la guerre froide semble aujourd’hui vaciller.
Regardant en arrière, l’optimisme et la stabilité de ces 25 dernières
années semblent n’avoir été qu’une période de transition. Nous entrons
dans une nouvelle ère encore inconnue mais qui nous laisse toutefois
entrevoir certaines caractéristiques. Dans sa conférence, György
Nógrádi, spécialiste des questions de sécurité, fort d’une expérience de
plusieurs décennies, analysera ce monde à venir.
Entrée libre
Jaap Scholten : Camarade Baron – un voyage dans le monde englouti de l’aristocratie de Transylvanie Présentation de livre 19 avril 2017 à 19h30 Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Traduit de l’anglais par Gerald Messadié (Michel de Maule. 2016. Paris)
Dans la nuit du 3 mars 1949, la
quasi-totalité des aristocrates de Transylvanie furent tiré de leurs
lits et jetés dans des camions, vers des destinations diverses, prisons,
camps de travail et autres. Le même jour, le Parti des Travailleurs
Roumains se félicita d’annoncer la déportation de tous les grands
propriétaires terriens et la confiscation de leurs biens. Le communisme,
en effet, exigeait la destruction de tous ces ennemis de classe
suprêmes.
Pour explorer ce chapitre méconnu de
l’histoire contemporaine, Jaap Scholten a sillonné inlassablement la
Roumanie et la Hongrie, il s’est entretenu avec les survivants des
goulags roumains et les jeunes générations, il les a interrogés sur la
restitution de leurs biens et sur leur projets d’avenir. Et la même
question se dressait : comment reconstruire quoi que ce soit dans le
vide moral ?
Entrée libre
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Littérature
dimanche 26 mars 2017
Quand Johann Strauss s’invite sur les bords du Danube.... à Budapest. (Le Baron tzigane au Théâtre Erkel)
Par Pierre Waline
"Lors d’une visite qu’il effectua à Budapest au cours de l’hiver 1883, Johann Strauss y rencontra l’écrivain hongrois Mór Jokai qui venait de publier une nouvelle intitulée Szaffi. Oeuvre romanesque et pittoresque à souhait, sur fond de lutte contre l’occupant turc. L’oeuvre plut au compositeur viennois qui décida d’en faire une opérette (encouragé pour ce faire par Liszt). Pour en réaliser le livret, le choix se porta sur le journaliste viennois Ignaz Schnitzer, entre autres traducteur du poète Sándor Petőfi.
Créée à Vienne en octobre 1885, l’oeuvre, donnée sous le titre de Der Zigeunerbaron, remporta un succès tel qu’elle fut pratiquement jouée deux fois d’affilée, chacun de ses airs ayant été bissé. Ceci en présence de l’empereur François-Joseph qui, contrairement à son habitude, assista jusqu’au bout à la représentation. Située à mi-chemin entre opéra et opérette, l’oeuvre, non dédaignée par les plus grands chefs (Karajan, Weingartner, Kleiber, Harnoncourt) est restée aujourd’hui encore à l’affiche des plus grandes scènes du monde." La suite sur francianyelv.hu
"Lors d’une visite qu’il effectua à Budapest au cours de l’hiver 1883, Johann Strauss y rencontra l’écrivain hongrois Mór Jokai qui venait de publier une nouvelle intitulée Szaffi. Oeuvre romanesque et pittoresque à souhait, sur fond de lutte contre l’occupant turc. L’oeuvre plut au compositeur viennois qui décida d’en faire une opérette (encouragé pour ce faire par Liszt). Pour en réaliser le livret, le choix se porta sur le journaliste viennois Ignaz Schnitzer, entre autres traducteur du poète Sándor Petőfi.
Créée à Vienne en octobre 1885, l’oeuvre, donnée sous le titre de Der Zigeunerbaron, remporta un succès tel qu’elle fut pratiquement jouée deux fois d’affilée, chacun de ses airs ayant été bissé. Ceci en présence de l’empereur François-Joseph qui, contrairement à son habitude, assista jusqu’au bout à la représentation. Située à mi-chemin entre opéra et opérette, l’oeuvre, non dédaignée par les plus grands chefs (Karajan, Weingartner, Kleiber, Harnoncourt) est restée aujourd’hui encore à l’affiche des plus grandes scènes du monde." La suite sur francianyelv.hu
En Hongrie, les pro-Orbán crient leur déception : "Moi, j'étais pour l'Europe, j'espérais une vie meilleure"
"Alors que l'Union européenne fête ses 60 ans, la Hongrie connaît une profonde crise identitaire. Reportage.
Le Traité de Rome fête son soixantième anniversaire. Depuis 60 ans, l'Europe s'est élargie au fil des années. De six, on est passé à neuf, puis dix, douze, quinze… Le grand saut, c'était en 2004 : l'Europe de l'Est entrait dans l'Union. Dix nouveaux états, parmi lesquels la Hongrie. Au sein de ce pays situé aux frontières orientales de l'Union européenne, les conservateurs populistes ont été portés au pouvoir, avec à leur tête, Viktor Orbán.
Main mise sur les médias et les institutions judiciaires, rejet de tout effort pour faire face collectivement à la crise migratoire - une deuxième barrière de barbelés est en cours de finition à la frontière avec la Serbie, où les réfugiés seront enfermés en attenant la réponse à leurs demandes d'asile – Viktor Orbán a pris la tête d’un groupe de pays membres qui montrent des velléités de repli sur soi. Il y a dix jours, c’était "fête nationale" en Hongrie. L'occasion de dresser le portrait d’un peuple tiraillé." La suite sur europe1.fr
Le Traité de Rome fête son soixantième anniversaire. Depuis 60 ans, l'Europe s'est élargie au fil des années. De six, on est passé à neuf, puis dix, douze, quinze… Le grand saut, c'était en 2004 : l'Europe de l'Est entrait dans l'Union. Dix nouveaux états, parmi lesquels la Hongrie. Au sein de ce pays situé aux frontières orientales de l'Union européenne, les conservateurs populistes ont été portés au pouvoir, avec à leur tête, Viktor Orbán.
Main mise sur les médias et les institutions judiciaires, rejet de tout effort pour faire face collectivement à la crise migratoire - une deuxième barrière de barbelés est en cours de finition à la frontière avec la Serbie, où les réfugiés seront enfermés en attenant la réponse à leurs demandes d'asile – Viktor Orbán a pris la tête d’un groupe de pays membres qui montrent des velléités de repli sur soi. Il y a dix jours, c’était "fête nationale" en Hongrie. L'occasion de dresser le portrait d’un peuple tiraillé." La suite sur europe1.fr
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samedi 25 mars 2017
Traducteurs traduisez ! Rencontre avec Charles Zaremba
"Comme Charles Zaremba, les traducteurs et traductrices, souvent dans l’ombre de la chaîne du livre et, plus généralement de la création littéraire, travaillent à offrir au lectorat les découvertes étrangères. Baudelaire traducteur de Poe, Alexandre Vialatte et la littérature allemande, Henri Thomas, Philippe Jaccottet : certains demeurent célèbres. En France, un livre sur six est issu de la traduction. Qui sont ces traducteurs ? Comment considèrent-ils leur travail ? Quelle est leur relation à l’œuvre originale ? Première rencontre avec Charles Zaremba, grand traducteur de Kertész et des littératures hongroise et polonaise." La suite sur unidivers.fr
Hongrie: Le Conseil de l’Europe inquiet pour les enfants migrants
"STRASBOURG (Reuters) - La création par la Hongrie de camps
destinés à interner les migrants, y compris les mineurs non accompagnés
de 14 ans et plus, violerait les droits des enfants et les exposerait à
des risques d’exploitation sexuelle, estime le Conseil de l’Europe.
Le président du comité de Lanzarote, un organe de l’institution paneuropéenne chargé de veiller au respect de la convention européenne contre l’exploitation sexuelle des enfants, a écrit au Premier ministre hongrois, Viktor Orban, pour lui demander confirmation que les migrants de plus de 14 ans seraient désormais traités comme les adultes." La suite sur challenges.fr
Le président du comité de Lanzarote, un organe de l’institution paneuropéenne chargé de veiller au respect de la convention européenne contre l’exploitation sexuelle des enfants, a écrit au Premier ministre hongrois, Viktor Orban, pour lui demander confirmation que les migrants de plus de 14 ans seraient désormais traités comme les adultes." La suite sur challenges.fr
vendredi 24 mars 2017
Vera Varsa-Szekeres invitée des Mardis hongrois de Paris le 28 mars 2017 à partir de 20 h 30
Brasserie Le Saint-André 2, rue Danton 75006 Paris
Métro - RER station Saint-Michel
Vera Varsa-Szekeres viendra présenter la biographie pleine de tourments de son époux, le Hongrois Georges Szekeres, lors d'une causerie informelle avec les participants de la soirée.
Cette biographie a été réalisée essentiellement à partir de documents – provenant de France, de Hongrie ou d'Italie – où se mêlent citations militaires françaises ; procès verbaux de la police secrète hongroise ; souvenirs de ses amis ; correspondances inédites avec Paul Nizan et Maurice Merleau-Ponty ; documents d'archives, etc. Nous pénétrons ici dans les salons, mais aussi les cachots, pour découvrir un tableau d'époque du XXe siècle et de ses fléaux…
Traduit du hongrois par Paul Remetean et Thierry Loisel
Broché
ISBN : 978-2-343-09521-9 • janvier 2017 • 294 pages
EAN PDF : 9782140027109
Prix éditeur : 28,50 €
editions-harmattan.fr
Vera Varsa-Szekeres viendra présenter la biographie pleine de tourments de son époux, le Hongrois Georges Szekeres, lors d'une causerie informelle avec les participants de la soirée.
Cette biographie a été réalisée essentiellement à partir de documents – provenant de France, de Hongrie ou d'Italie – où se mêlent citations militaires françaises ; procès verbaux de la police secrète hongroise ; souvenirs de ses amis ; correspondances inédites avec Paul Nizan et Maurice Merleau-Ponty ; documents d'archives, etc. Nous pénétrons ici dans les salons, mais aussi les cachots, pour découvrir un tableau d'époque du XXe siècle et de ses fléaux…
Traduit du hongrois par Paul Remetean et Thierry Loisel
Broché
ISBN : 978-2-343-09521-9 • janvier 2017 • 294 pages
EAN PDF : 9782140027109
Prix éditeur : 28,50 €
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Exposition Vin et design Sélection des œuvres du concours Cégér - Dégustation du 5 au 12 avril 2017 Institut hongrois
Vernissage : 5 avril à 17 h
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Le concours lancé par Hybridart
Management en 2012 avait pour objectif de mettre en contact jeunes
viticulteurs et jeunes designers hongrois. Les candidats devaient donner
une nouvelle identité visuelle d’un vin ou une famille de vin.
L’exposition itinérante propose une sélection des étiquettes de vin les
plus intéressantes. Le vernissage est jumelé avec une dégustation des
vins
Entrée sur réservation exclusivement.
Le sans contact dépasse les paiements par carte en Hongrie
"Les Hongrois sont désormais à la pointe des paiements sans contact.
Selon les statistiques publiées le 16 mars 2017 par la Banque Nationale
de Hongrie (Magyar Nemzeti Bank,
MNB), le nombre de paiements effectués sans contact représente désormais
plus de la moitié (51%) de l’ensemble des transactions réalisées par
carte dans ce pays en 2016. Leur progression a été très rapide. En
effet, en 2015, les paiements sans contact pesaient 30 % du marché des
paiements par carte. Cette avancée a été rendue possible également par
l’engouement des banques et des commerçants pour les nouvelles
technologies." La suite sur publi-news.fr
Cas de rage chez une chèvre en Hongrie
"En Hongrie, le 21 mars 2017, le Ministère de l'Agriculture a notifié à l'Organisation mondiale de la santé animale un cas de rage chez une chèvre parmi un groupe de 15 caprins dans une ferme du comté de Borsod-Abaúj-Zemplén au nord-est de la Hongrie.
Cette ferme est située à 800 mètres de l'endroit où avait été trouvé un renard enragé 3 semaines avant.
Le diagnostic a été confirmé par le Bureau national pour la sécurité de la chaîne alimentaire, Direction de la santé animale (Laboratoire national).
Le cas de la rage a été notifiée par le Ministère de la santé à la section de surveillance épidémiologique des services vétérinaires du ministère de l'agriculture et l'élevage, après que le laboratoire national de référence ait confirmé le diagnostic chez le chat le 10 octobre 2016." La suite sur mesvaccins.net
Cette ferme est située à 800 mètres de l'endroit où avait été trouvé un renard enragé 3 semaines avant.
Le diagnostic a été confirmé par le Bureau national pour la sécurité de la chaîne alimentaire, Direction de la santé animale (Laboratoire national).
Le cas de la rage a été notifiée par le Ministère de la santé à la section de surveillance épidémiologique des services vétérinaires du ministère de l'agriculture et l'élevage, après que le laboratoire national de référence ait confirmé le diagnostic chez le chat le 10 octobre 2016." La suite sur mesvaccins.net
jeudi 23 mars 2017
«Il y a une communauté d’émigrés nationalistes qui font leur trou ici»
Article publié sur 444.hu samedi 18 mars 2017 sous le titre « Magyarországra költözik a brit szélsőjobboldali vezető, Nick Griffin ». Traduit du hongrois par Paul Maddens.
"Le webjournal de gauche 444.hu semble avoir trouvé bien pathétique le colloque d’extrême-droite auquel il a assisté à Budapest le week-end dernier et en marge duquel il a eu la chance de recueillir les vues de Nick Griffin, l’ancien président et eurodéputé du British National Party. Cette rencontre – racontée ci-dessous – a été repérée et relayée par plusieurs agences de presse internationales.
« La Hongrie est maintenant un excellent spot, il y a une communauté d’émigrés nationalistes qui font leur trou ici. Il y a des Français, des Italiens, des Suédois et les Britanniques aussi affluent. Pas un instant je ne doute que quand commencera le vrai bazar avec Al-Qaida et l’Etat Islamique à l’Ouest, alors cette affluence deviendra un vrai raz-de-marée ». Voici ce qui nous a été dit par Nick Griffin, ancien dirigeant du parti d’extrême droite British National Party au cours d’une pause lors de la conférence « Stop Soros », organisée par l’Alliance des Etudiants Identitaires. En plus il nous a révélé qu’il s’installera en Hongrie dans les six mois." La suite sur hu-lala.org
"Le webjournal de gauche 444.hu semble avoir trouvé bien pathétique le colloque d’extrême-droite auquel il a assisté à Budapest le week-end dernier et en marge duquel il a eu la chance de recueillir les vues de Nick Griffin, l’ancien président et eurodéputé du British National Party. Cette rencontre – racontée ci-dessous – a été repérée et relayée par plusieurs agences de presse internationales.
« La Hongrie est maintenant un excellent spot, il y a une communauté d’émigrés nationalistes qui font leur trou ici. Il y a des Français, des Italiens, des Suédois et les Britanniques aussi affluent. Pas un instant je ne doute que quand commencera le vrai bazar avec Al-Qaida et l’Etat Islamique à l’Ouest, alors cette affluence deviendra un vrai raz-de-marée ». Voici ce qui nous a été dit par Nick Griffin, ancien dirigeant du parti d’extrême droite British National Party au cours d’une pause lors de la conférence « Stop Soros », organisée par l’Alliance des Etudiants Identitaires. En plus il nous a révélé qu’il s’installera en Hongrie dans les six mois." La suite sur hu-lala.org
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Extrême-droite,
Migrants,
Réfugiés
Le Mot de l'Ambassadeur - Schengen et Dublin ont bon dos (ou : arrêter le Hungary-bashing)
"Les commentaires d’une certaine presse, de certaines chaînes de
télévision, de certains organismes non gouvernementaux et de nombre
d’observateurs sur l’attitude de la Hongrie face au flux migratoire
traversant son pays sont de plus en plus surprenants.
La convention de Schengen impose aux Etats-membres dotés d’une frontière extérieure de la protéger et de la contrôler, gage du maintien de la libre circulation à l’intérieur de la zone. Ce n’est pas une compétence communautaire, mais une compétence nationale. La Hongrie l’a fait depuis le début, en érigeant une clôture à sa frontière avec la Serbie. Elle continue à le faire actuellement, en renforçant ce dispositif. Aujourd’hui, d’autres clôtures sont en cours d’érection à d’autres frontières extérieures de l’Union, sur fonds communautaires et avec la bénédiction de tous. Le « contrôle des frontières extérieures » est devenu une priorité répétée jour après jour. Alors, quel est le problème avec la Hongrie ?
La convention de Dublin impose aux Etats-membres d’enregistrer les demandes des demandeurs d’asile qui pénètrent pour la première fois en Europe en franchissant leur frontière. Ici encore, comme pour Schengen, il ne s’agit pas d’une obligation de moyens, mais d’une obligation de résultat. Ce résultat ne peut être obtenu que si le demandeur reste sur place le temps que sa demande soit instruite. S’il profite de la liberté de circulation qui lui est laissée pour quitter le pays, il abuse du droit communautaire et rend impossible l’exécution de ses obligations par l’Etat concerné. En créant des zones de transit à sa frontière, la Hongrie souhaite rappeler les demandeurs d’asile à leurs obligations et se conformer aux siennes. Le déferlement d’indignations qui a accompagné cette mesure est incompréhensible et témoigne d’une bien piètre connaissance du cadre juridique européen.
A l’heure où nous fêtons le 60ème anniversaire de la création de l’Union européenne, il serait temps de réaliser que cette Union ne peut fonctionner – a minima – que si les règles qu’elle s’est elle-même données sont appliquées. La Hongrie est sans doute le seul Etat-membre qui ait pris à la lettre ses obligations au titre des conventions de Schengen et de Dublin. Il est invraisemblable de la voir exposée à la vindicte publique pour cela. Il serait correct, et conforme à l’esprit européen, de lui en donner acte.
Et il serait aussi correct, et conforme à l’esprit européen, d’arrêter une fois pour toutes le Hungary-bashing." Source : page Facebook de l'ambassade de Hongrie en France
La convention de Schengen impose aux Etats-membres dotés d’une frontière extérieure de la protéger et de la contrôler, gage du maintien de la libre circulation à l’intérieur de la zone. Ce n’est pas une compétence communautaire, mais une compétence nationale. La Hongrie l’a fait depuis le début, en érigeant une clôture à sa frontière avec la Serbie. Elle continue à le faire actuellement, en renforçant ce dispositif. Aujourd’hui, d’autres clôtures sont en cours d’érection à d’autres frontières extérieures de l’Union, sur fonds communautaires et avec la bénédiction de tous. Le « contrôle des frontières extérieures » est devenu une priorité répétée jour après jour. Alors, quel est le problème avec la Hongrie ?
La convention de Dublin impose aux Etats-membres d’enregistrer les demandes des demandeurs d’asile qui pénètrent pour la première fois en Europe en franchissant leur frontière. Ici encore, comme pour Schengen, il ne s’agit pas d’une obligation de moyens, mais d’une obligation de résultat. Ce résultat ne peut être obtenu que si le demandeur reste sur place le temps que sa demande soit instruite. S’il profite de la liberté de circulation qui lui est laissée pour quitter le pays, il abuse du droit communautaire et rend impossible l’exécution de ses obligations par l’Etat concerné. En créant des zones de transit à sa frontière, la Hongrie souhaite rappeler les demandeurs d’asile à leurs obligations et se conformer aux siennes. Le déferlement d’indignations qui a accompagné cette mesure est incompréhensible et témoigne d’une bien piètre connaissance du cadre juridique européen.
A l’heure où nous fêtons le 60ème anniversaire de la création de l’Union européenne, il serait temps de réaliser que cette Union ne peut fonctionner – a minima – que si les règles qu’elle s’est elle-même données sont appliquées. La Hongrie est sans doute le seul Etat-membre qui ait pris à la lettre ses obligations au titre des conventions de Schengen et de Dublin. Il est invraisemblable de la voir exposée à la vindicte publique pour cela. Il serait correct, et conforme à l’esprit européen, de lui en donner acte.
Et il serait aussi correct, et conforme à l’esprit européen, d’arrêter une fois pour toutes le Hungary-bashing." Source : page Facebook de l'ambassade de Hongrie en France
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Hongrie : Viktor Orbán en ligne de rires
"Par
Nina Yargekov
A coups de happenings potaches et de street art, le Parti hongrois du chien à deux queues réveille la population. Pour la première fois, il participe à une élection locale.
Parmi les candidats aux élections locales intermédiaires du district de Zugló à Budapest se trouve un certain Imre Tóth. D’après la vidéo de campagne, l’homme vient de suivre une formation aux îles Caïmans. Au programme de ce stage intensif : perfectionnement en langue de bois, théorie et pratique du mensonge éhonté, initiation à l’ouverture d’un compte offshore. En somme, l’intéressé est maintenant apte à devenir un homme politique digne de ce nom. Dans la vie du Parti hongrois du chien à deux queues (MKKP), dont Imre Tóth défendra les couleurs lors du scrutin du 23 avril, cette candidature est sans doute un tournant majeur. En effet, c’est la première fois que ce mouvement qu’on qualifie habituellement de «parodique» ou de «satirique» participe à des élections." La suite sur liberation.fr
A coups de happenings potaches et de street art, le Parti hongrois du chien à deux queues réveille la population. Pour la première fois, il participe à une élection locale.
Parmi les candidats aux élections locales intermédiaires du district de Zugló à Budapest se trouve un certain Imre Tóth. D’après la vidéo de campagne, l’homme vient de suivre une formation aux îles Caïmans. Au programme de ce stage intensif : perfectionnement en langue de bois, théorie et pratique du mensonge éhonté, initiation à l’ouverture d’un compte offshore. En somme, l’intéressé est maintenant apte à devenir un homme politique digne de ce nom. Dans la vie du Parti hongrois du chien à deux queues (MKKP), dont Imre Tóth défendra les couleurs lors du scrutin du 23 avril, cette candidature est sans doute un tournant majeur. En effet, c’est la première fois que ce mouvement qu’on qualifie habituellement de «parodique» ou de «satirique» participe à des élections." La suite sur liberation.fr
Groupama cède un bloc de 3% du capital du hongrois OTP Bank
"Groupama a annoncé mercredi
avoir lancé la cession d'un bloc d'actions d'OTP Bank représentant
environ 3% du capital de la banque hongroise.
L'assureur mutualiste français indique dans un communiqué qu'il restera actionnaire d'OTP Bank à hauteur de 5% à l'issue de la cession." La suite sur lesechos.fr
L'assureur mutualiste français indique dans un communiqué qu'il restera actionnaire d'OTP Bank à hauteur de 5% à l'issue de la cession." La suite sur lesechos.fr
mercredi 22 mars 2017
Hongrie. Budapest vs Heineken : bataille pour une bière
"Le gouvernement de Viktor Orbán veut une loi pour sanctionner le
brasseur néerlandais, accusé de favoriser l’une de ses marques en
Roumanie au détriment d’une bière symbolisant la minorité magyarophone
de Transylvanie.
À en croire le numéro un du cabinet de Viktor Orbán, János Lázár, c’est une question d’intérêt national. Même si le litige se déroule en territoire roumain, celui-ci vise la minorité hongroise de Transylvanie et justifie que Budapest s’implique. La brouille se joue autour de la bière Csíki Sör. Une marque brassée en pays sicule qu’Heineken a décidé d’attaquer en justice. Motif ? Le nom commercial ressemble trop à la Ciuc, commercialisée depuis 2003 par le brasseur néerlandais." La suite sur courrierinternational.com
À en croire le numéro un du cabinet de Viktor Orbán, János Lázár, c’est une question d’intérêt national. Même si le litige se déroule en territoire roumain, celui-ci vise la minorité hongroise de Transylvanie et justifie que Budapest s’implique. La brouille se joue autour de la bière Csíki Sör. Une marque brassée en pays sicule qu’Heineken a décidé d’attaquer en justice. Motif ? Le nom commercial ressemble trop à la Ciuc, commercialisée depuis 2003 par le brasseur néerlandais." La suite sur courrierinternational.com
Hongrie : Jean-Luc Mélenchon pour renégocier le traité de Trianon ?
"De l’Atlantique à l’Oural, « il faut rediscuter de toutes les frontières ». Évoquant les frontières de l’Ukraine, de la Pologne et de la Hongrie, les propos du candidat « France insoumise » Jean-Luc Mélenchon ont été interprétés en Hongrie comme un positionnement en faveur d’une renégociation du traité de Trianon.Jean-Luc Mélenchon, ancien ministre socialiste et représentant de la
gauche alternative à l’élection présidentielle française, s’est prononcé
lundi soir en faveur d’une grande conférence de sécurité de
l’Atlantique à l’Oural, afin de discuter avec les anciens pays du bloc
de l’Est le tracé de leurs frontières. « Toutes les tensions
[géopolitiques, ndlr] viennent du fait que quand l’empire soviétique
s’est écroulé, personne n’a négocié les frontières avec qui que ce soit.
C’est le moment de négocier les frontières. Pas la guerre, la
négociation », a-t-il notamment déclaré, alors que le candidats
était invité à s’exprimer sur l’opportunité d’une « Europe de la
défense » et d’une armée commune aux 28 pays membres." La suite sur hu-lala.org
60 ans du traité de Rome : Viktor Orban, le croisé de l’Europe non libérale
"Le premier ministre hongrois a consolidé son pouvoir au mépris des valeurs européennes.
Seul, loin des sifflets des opposants,
face à un public d’obligés et devant une haie de drapeaux hongrois :
c’est comme cela que Viktor Orban aime faire partager sa vision de
l’Europe. Le 10 février, au pied des collines de Buda, tous ceux qui
comptent au parti Fidesz, que le premier ministre a fondé, s’étaient mis
sur leur trente-et-un.
Ils étaient venus applaudir le grand discours du chef au Varkert Bazar, un splendide monument néorenaissance de la fin du XIXe siècle, récemment rénové. Car, tous les ans, cette figure des nouvelles droites se lance dans une grande allocution qui, officiellement, doit faire le point sur l’état de son pays. En fait, il s’agit d’un événement qui sert de prétexte pour exprimer tout le mal que M. Orban pense de la construction européenne, qu’il compare à l’Union soviétique parce qu’elle commettrait des « agressions » à l’encontre du peuple hongrois, dans le but de le forcer à « se résigner au libéralisme »." La suite sur lemonde.fr (version payante)
Ils étaient venus applaudir le grand discours du chef au Varkert Bazar, un splendide monument néorenaissance de la fin du XIXe siècle, récemment rénové. Car, tous les ans, cette figure des nouvelles droites se lance dans une grande allocution qui, officiellement, doit faire le point sur l’état de son pays. En fait, il s’agit d’un événement qui sert de prétexte pour exprimer tout le mal que M. Orban pense de la construction européenne, qu’il compare à l’Union soviétique parce qu’elle commettrait des « agressions » à l’encontre du peuple hongrois, dans le but de le forcer à « se résigner au libéralisme »." La suite sur lemonde.fr (version payante)
Présentation de livre de Géza Róheim le jeudi 30 mars à 19 h 30 - Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
La collection « nouveau document » met à l’honneur pour son premier numéro une figure majeure des sciences humaines de la première moitié du 20e siècle, l’ethnologue et psychanalyste hongrois Géza Róheim. L'ouvrage E. Pichon-Rivière, Av. Santa Fe 1379, Buenos Aires. G. Róheim, Hermina út 35 b, Budapest réunit une dizaine de contributions de chercheurs et universitaires, hongrois, français, anglais, belges et australiens, une riche iconographie, ainsi qu'une série de correspondances, traçant un portrait de ce penseur trop longtemps méconnu.
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
La collection « nouveau document » met à l’honneur pour son premier numéro une figure majeure des sciences humaines de la première moitié du 20e siècle, l’ethnologue et psychanalyste hongrois Géza Róheim. L'ouvrage E. Pichon-Rivière, Av. Santa Fe 1379, Buenos Aires. G. Róheim, Hermina út 35 b, Budapest réunit une dizaine de contributions de chercheurs et universitaires, hongrois, français, anglais, belges et australiens, une riche iconographie, ainsi qu'une série de correspondances, traçant un portrait de ce penseur trop longtemps méconnu.
Témoin privilégié et acteur d'une époque en transition – entre la
vision du monde et les théories du 19e siècle et celles du 20e siècle –
Róheim prendra part au foisonnement de la psychanalyse de ce début de
siècle, voyant naître des chemins nouveaux et aventureux se dégageant
progressivement de la présence souveraine de Freud, sans jamais parvenir
totalement à inscrire sa vision dans cette dynamique.
A la fois marginal, progressiste, expérimentateur, défricheur, inventeur et pluridisciplinaire, Róheim est aujourd'hui encore une figure discutée, qui nous parle avec force et originalité de la forme d'une recherche en sciences humaines et d'un échec tout aussi magnifique que fructueux.
Intervenants :
Roger Dadoun (philosophe, psychanalyste, traducteur et critique d'art français)
Ferenc Erős (Professeur de psychologie sociale, Pécs, Hongrie).
Entrée libre
A la fois marginal, progressiste, expérimentateur, défricheur, inventeur et pluridisciplinaire, Róheim est aujourd'hui encore une figure discutée, qui nous parle avec force et originalité de la forme d'une recherche en sciences humaines et d'un échec tout aussi magnifique que fructueux.
Intervenants :
Roger Dadoun (philosophe, psychanalyste, traducteur et critique d'art français)
Ferenc Erős (Professeur de psychologie sociale, Pécs, Hongrie).
Entrée libre
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Psychanalyse
URGENCE au Théâtre Nanterre-Amandiers - Situation/Détournement
Un spectacle pour un seul spectateur.
Une
expérience hors du commun, où, seul, vous aurez l'opportunité de vous
confronter à l'éventualité de votre propre mort. Non dans la tête, mais
dans le corps.
URGENCE,
un spectacle pour un seul spectateur
sera au Théâtre Nanterre-Amandiers
dans le cadre de
SITUATION / DETOURNEMENT
un spectacle pour un seul spectateur
sera au Théâtre Nanterre-Amandiers
dans le cadre de
SITUATION / DETOURNEMENT
- Vendredi 24 mars 2017 : entre 13h et 20h
RESERVATION INDISPENSABLE.
Durée : 30 minutes, un spectateur entre toutes les 15 minutes.
Durée : 30 minutes, un spectateur entre toutes les 15 minutes.
La
frontière entre la fiction et la réalité se brouille. Le spectateur est
au coeur de l'action. Sa pudeur est respectée en toute circonstance.
Tels sont les fondements du GK Collective.
Réservation déjà complète, possible uniquement pour liste d'attente
theatrecache@gkcollective.org
Jeudi 23 mars 18h : Musique et danses traditionnelles hongroises à la Fondation Vasarely!
L'Association Hongroise de Provence vous présente
DEMAIN! Jeudi 23 mars 18h : Musique et danses traditionnelles hongroises à la Fondation Vasarely!
Entrée libre. Venez nombreux!
HOLNAP, csütörtökön este 6-tól: Csángó zene és tánc+táncház a Vasarely Alapítványban!
A belépés ingyenes. Szeretettel várjuk az érdeklődőket!
Musique traditionnelle hongroise
jeudi 23 mars 2017- 18h à la FONDATION VASARELY
1, av. M. Pagnol, Aix-en-Provence
Conférence et Concert
Traditions et modernité dans l'oeuvre de János Arany (1817-1882)". Conférence sur un génie de la poésie hongroise à l'occasion du bicentenaire de sa naissance, par Enikő Sombrin-Sasvári.
Concert de musique traditionnelle hongroise par Szamek Lili et Illés Gábor avec la participation du duo Szendi (danse). Entrée libre
Előadás Arany Jánosról.
Népzenei hangverseny:Szamek Lili és Illés Gábor, tánc: Szendi házaspár) Szervezi: a Provence-i Magyar Egyesület. Belépés: ingyenes
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Vins: goûtez la Hongrie!
"La renaissance d’une grande région viticole.
Il y a trois siècles, le vin le plus précieux du monde n’était ni bourguignon ni bordelais. C’était plutôt le tokaji aszú, un vin liquoreux produit dans un petit village du nord-est de la Hongrie, qui faisait les délices de Louis XIV. Plus tard, à l’est du rideau de fer, le tokaji est devenu communiste. Vinifié de façon industrielle et à gros volume, ce vin de légende n’était plus que l’ombre de lui-même.
Des années d’obscurantisme avaient dégradé la qualité du vin, mais le terroir et le cépage local furmint avaient conservé toute leur singularité. Ne manquait plus que de l’argent pour restructurer les vignobles et remettre les chais en bon état. C’est dans ce contexte que les autorités hongroises ont instauré un programme de privatisation dès la fin du régime communiste, en 1990. Une occasion en or qu’ont vite saisie une poignée d’investisseurs d’Europe occidentale, dont l’écrivain britannique Hugh Johnson, qui a alors mis la main sur quelques-unes des parcelles les plus réputées de Tokaj." La suite sur lactualite.com
Il y a trois siècles, le vin le plus précieux du monde n’était ni bourguignon ni bordelais. C’était plutôt le tokaji aszú, un vin liquoreux produit dans un petit village du nord-est de la Hongrie, qui faisait les délices de Louis XIV. Plus tard, à l’est du rideau de fer, le tokaji est devenu communiste. Vinifié de façon industrielle et à gros volume, ce vin de légende n’était plus que l’ombre de lui-même.
Des années d’obscurantisme avaient dégradé la qualité du vin, mais le terroir et le cépage local furmint avaient conservé toute leur singularité. Ne manquait plus que de l’argent pour restructurer les vignobles et remettre les chais en bon état. C’est dans ce contexte que les autorités hongroises ont instauré un programme de privatisation dès la fin du régime communiste, en 1990. Une occasion en or qu’ont vite saisie une poignée d’investisseurs d’Europe occidentale, dont l’écrivain britannique Hugh Johnson, qui a alors mis la main sur quelques-unes des parcelles les plus réputées de Tokaj." La suite sur lactualite.com
Soirée à l'Institut hongrois - Biographie de Géraldine, reine des Albanais par Joséphine Dedet - Quelques images
Soirée à l'Institut hongrois consacrée à la présentation de la biographie Géraldine par Joséphine Dedet
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mardi 21 mars 2017
Le logo de Heineken bientôt interdit en Hongrie ?
"Une proposition de loi hongroise
menace d'interdiction le symbole de la marque Heineken. La mesure révèle
un conflit plus profond entre le brasseur néerlandais et le pays de
Viktor Orban.
L'étoile
rouge, emblème de la bière Heineken, est-elle un symbole totalitaire?
La question peut sembler absurde, elle est pourtant au cœur d'un conflit
entre la marque néerlandaise et la Hongrie. Le Parlement hongrois
examine en effet depuis lundi une loi sur les symboles rattachés au
totalitarisme: dictée par le gouvernement d'Orban par une «obligation
morale», elle vise l'interdiction de l'usage commercial d'une série de
symboles, dont la svatiska, le marteau et la faucille et l'étoile rouge,
durant longtemps symbole du communisme soviétique. Or sur les
étiquettes de la célèbre marque de bière trône une étoile rouge." La suite sur lefigaro.fr
Crise des migrants – Une figure d’extrême droite britannique dit chercher « refuge » en Hongrie
"L’ancien dirigeant d’extrême droite britannique Nick Griffin a
affirmé vouloir chercher « refuge » en Hongrie, mettant en avant le
« rôle prédominant » de ce pays dans la lutte contre l’immigration en
Europe. L’ex-député européen a précisé vouloir s’établir « dans les six
mois » en Hongrie, devenue selon lui un modèle de « souverainisme » et
de lutte anti-migrants sous l’impulsion du dirigeant conservateur Viktor
Orban.
« Je suis persuadé que quand les vrais problèmes commenceront en Europe de l’Ouest avec Al-Qaida et Isis (l’organisation djihadiste État islamique, ndlr) », il y aura un « flot » d’Européens vers la Hongrie, a déclaré l’ancien dirigeant du British National Party (BNP) au site hongrois 444.hu. « J’espère que la Hongrie, le gouvernement hongrois et le peuple hongrois accueilleront les gens qui seront d’authentiques réfugiés d’Europe occidentale mais rejetteront les libéraux responsables de cette situation », a-t-il ajouté." La suite sur metrotime.be
« Je suis persuadé que quand les vrais problèmes commenceront en Europe de l’Ouest avec Al-Qaida et Isis (l’organisation djihadiste État islamique, ndlr) », il y aura un « flot » d’Européens vers la Hongrie, a déclaré l’ancien dirigeant du British National Party (BNP) au site hongrois 444.hu. « J’espère que la Hongrie, le gouvernement hongrois et le peuple hongrois accueilleront les gens qui seront d’authentiques réfugiés d’Europe occidentale mais rejetteront les libéraux responsables de cette situation », a-t-il ajouté." La suite sur metrotime.be
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lundi 20 mars 2017
Lieux d’Accueil Enfant-Parent pour les familles hungarophones 1er avril 2017 de 10h à 13h Institut hongrois
Un lieu de rencontre et de loisirs pour
les tout-petits (0 à 4 ans) accompagnés par un ou plusieurs membre(s) de
la famille. Les futurs parents y sont également les bienvenus.
L’enfant, avec la présence rassurante de l’adulte familier :
- rencontre d’autres enfants, partage des moments de jeux
- acquiert progressivement son autonomie
- se prépare en douceur à l’entrée en crèche ou à l’école
- découvre les règles de la vie en société
- rencontre d’autres enfants, partage des moments de jeux
- acquiert progressivement son autonomie
- se prépare en douceur à l’entrée en crèche ou à l’école
- découvre les règles de la vie en société
Les parents, s’ils le souhaitent :
- jouent avec leur enfant
- découvrent l’enfant avec d’autres enfants
- viennent se rencontrer
- échangent des expériences de futurs parents et de parents
- jouent avec leur enfant
- découvrent l’enfant avec d’autres enfants
- viennent se rencontrer
- échangent des expériences de futurs parents et de parents
Nous nous retrouvons chaque 1er samedi du mois de 10h à 13h.
Pas d’inscription préalable. Libre participation à la tirelire pour assurer le bon fonctionnement du lieu.
Pas d’inscription préalable. Libre participation à la tirelire pour assurer le bon fonctionnement du lieu.
Soyez les bienvenus !
Ágnes Erdélyi et Fanni Panykó,
accueillantes psychologues (bilingues hongrois-français)
+33 6 47 65 18 98 / +33 7 82 67 57 93
Ágnes Erdélyi et Fanni Panykó,
accueillantes psychologues (bilingues hongrois-français)
+33 6 47 65 18 98 / +33 7 82 67 57 93
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