"La renaissance d’une grande région viticole.
Il y a trois siècles, le vin le plus précieux du monde n’était ni bourguignon ni bordelais. C’était plutôt le tokaji aszú,
un vin liquoreux produit dans un petit village du nord-est de la
Hongrie, qui faisait les délices de Louis XIV. Plus tard, à l’est du
rideau de fer, le tokaji est devenu communiste. Vinifié de façon industrielle et à gros volume, ce vin de légende n’était plus que l’ombre de lui-même.
Des années d’obscurantisme avaient dégradé la qualité du vin, mais le
terroir et le cépage local furmint avaient conservé toute leur
singularité. Ne manquait plus que de l’argent pour restructurer les
vignobles et remettre les chais en bon état. C’est dans ce contexte que
les autorités hongroises ont instauré un programme de privatisation dès
la fin du régime communiste, en 1990. Une occasion en or qu’ont vite
saisie une poignée d’investisseurs d’Europe occidentale, dont l’écrivain
britannique Hugh Johnson, qui a alors mis la main sur quelques-unes des
parcelles les plus réputées de Tokaj." La suite sur lactualite.com
mercredi 22 mars 2017
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