"Geza Borgulya, entrepreneur dans le bâtiment en Hongrie, connaît bien
ces travailleurs «qui s’entassent à quatre ou cinq tous les matins dans
une voiture pour aller travailler de l’autre côté de la frontière», en
Autriche. Alors que lui-même a les plus grandes difficultés à recruter.
«En
Europe de l’ouest ils peuvent facilement gagner 70 euros par jour. Ici
on ne peut pas s’aligner», constate ce patron d’une PME de 12 salariés,
au sud de Budapest.
A deux heures de route de Bucarest, en
Roumanie, la directrice de l’hôpital de Curtea de Arges «ne sait pas
quoi faire de plus» pour attirer les médecins qui font cruellement
défaut à son établissement." La suite sur liberation.fr
lundi 20 mars 2017
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