"Bratislava, Budapest ou Bucarest sont
persuadées que le fabriquant de la célébrissime pâte à tartiner vend à
ses citoyens, sous un emballage pourtant identique, un produit de
qualité dégradée.
Tous les conseils européens recèlent
leurs lots de surprises. En mars 2016, en pleine crise migratoire, ce
sont les protections hygiéniques féminines qui s’étaient invitées à la
table des dirigeants de l’Union : l’ex-premier ministre britannique
David Cameron avait obtenu que ses pairs inscrivent dans leur très aride
communiqué final une disposition lui permettant de supprimer la TVA sur
les tampons.
Au conseil européen du jeudi 9 mars, c’est le Nutella qui s’est discrètement ajouté au menu des 28 chefs d’Etat et de gouvernement réunis à Bruxelles pour plancher sur un sujet beaucoup moins suave : le futur de l’Union européenne (UE). Une grosse poignée de pays de l’Est (7 ou 8), emmenés par les membres du groupe de Visegrad (la Hongrie, la République tchèque, la Pologne et la Slovaquie), a convaincu les autres Etats que leurs préoccupations concernant la pâte à tartiner devaient être mentionnées dans leur communiqué commun." La suite sur lemonde.fr (version payante)
Au conseil européen du jeudi 9 mars, c’est le Nutella qui s’est discrètement ajouté au menu des 28 chefs d’Etat et de gouvernement réunis à Bruxelles pour plancher sur un sujet beaucoup moins suave : le futur de l’Union européenne (UE). Une grosse poignée de pays de l’Est (7 ou 8), emmenés par les membres du groupe de Visegrad (la Hongrie, la République tchèque, la Pologne et la Slovaquie), a convaincu les autres Etats que leurs préoccupations concernant la pâte à tartiner devaient être mentionnées dans leur communiqué commun." La suite sur lemonde.fr (version payante)
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