"Dilemmes dans la conception du budget 2012
La période budgétaire est toujours délicate pour les gouvernements. Ce n’est que trop vrai pour le gouvernement hongrois.
En 2010, tout de suite après les élections, le premier ministre, Viktor Orbán, a fait du lobbying à Bruxelles afin d’obtenir l’autorisation d’augmenter le déficit budgétaire de l’année en cours (7%). L’Union Européenne (UE) a refusé. Alors, pour maintenir le déficit à 3,8%, le gouvernement hongrois a mis en place des impôts de crise à destination des entreprises du secteur bancaire, des secteurs des télécoms et du commerce de détail. De plus, il a étatisé les fonds des caisses d’assurance vieillesse complémentaire (3 000 milliards de forints)." La suite sur le Journal francophone de Budapest
samedi 17 septembre 2011
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